Fernando Alonso : de la Mégane à la Valkyrie, un garage éclectique ! (en images)

Découvrez en images quelques unes des voitures possédées par Fernando Alonso en-dehors des circuits de F1, de l'époque Renault jusqu'à son arrivée chez Aston Martin, en passant par Ferrari, McLaren et Alpine.
Le moins que l'on puisse écrire, c'est que Fernando Alonso aime faire dans
l'éclectisme en matière de voitures. Le double champion du
monde F1 en a possédé une certain nombre tout au
long de sa carrière.
Les portes de garage d'un champion pouvant être aussi
impénétrables que les "Voies du Seigneur", nous
avons répertorié dans notre diaporama (ci-dessus)
les modèles au volant desquels le pilote espagnol
a été vu ou qu'il a reçus de la part des différentes
écuries ayant jalonné sa longue carrière.
A ce titre, il est d'ailleurs probable qu'une voire plusieurs des
montures figurant dans la liste ne soient plus aujourd'hui en
possession du natif d'Oviedo, où se trouve un
musée dédié à sa gloire (à découvrir en images), à
proximité de la piste de karting portant son nom.
Renault, McLaren, Honda... et beaucoup de Ferrari !
Le look du "garage" de Nano est à l'image de sa
carrière en sport automobile : éclectique ! La
Mégane constitua l'une des premiers voitures de
fonction d'Alonso, intronisé au rang de superstar par le
Renault F1 Team (écoutez ici le rugissement du V10
Renault à Abou Dhabi) au début des années 2000.
Des années plus tard, Alonso confessa toujours posséder une
Mégane R.S Trophy, l'une de ses voitures favorites
pour se déplacer au quotidien. Son premier passage par
McLaren, à défaut d'être couronné d'un sacre, lui
permit de rouler en Mercedes SLR, avant de
répondre aux sirènes de la Scuderia Ferrari.
De 2010 à 2014, l'Espagnol se démena comme un beau diable pour
ramener le titre à Maranello, sans succès. Il put se consoler au
volant de quelques pur-sangs comme la Ferrari FF, la 458 Italia ou la
Maserati GranCabrio. Bien que leur union fit chou blanc,
Ferrari rendit tout de même hommage à son champion en lançant une
série "Alonso" de sa 599 GTB.
Passé chez
McLaren-Honda avec de grandes ambitions, Alonso y
continua pourtant sa traversée du désert, l'alliance entre
Britanniques et Japonais ne faisant jamais illusion. On le vit à
cette époque au volant d'une Civic Type R, d'une
NSX (dont le modèle original fut en partie développée par le
grand Ayrton Senna) ou encore d'une McLaren 650S. Ambassadeur de la
marque de Woking, Alonso craqua même son portefeuille pour
l'hypercar Elva.
En 2020,
Renault frappait un grand coup
en signant Alonso, deux ans après la fin de son purgatoire anglais.
Rebaptisé Alpine, le team d'Enstone ne parvint
toutefois pas à convaincre l'Asturien malgré
une A110 S offerte
en guise de "cadeau de bienvenue".
Une nouvelle Aston Martin Valkyrie forte de 1115 chevaux !
L'épisode Alpine enterré après deux saisons,
Alonso rebondissait du côté d'Aston Martin.
L'écurie de Lawrence Stroll cassait sa tirelire pour
s'offrir les services de l'Espagnol qui lui rendait bien, signant
un total de neuf podiums en 2023, dont sept sur la
première partie de saison.
Rattrapée en développement par la concurrence,
l'AMR23 donnait moins satisfaction en deuxième
partie de campagne, Alonso cumulant toutefois 206 points et
une splendide 4ème place au championnat.
En parallèle
de ses prestations en piste, un peu moins reluisantes en 2024 au
volant d'une AMR24 dépassée, Alonso se fait
plaisir en coulisses. En collaboration avec les créateurs de la
marque britannique, qui vient de révéler sa toute nouvelle Vanquish, l'Espagnol a
participé à la conception de la
Valiant, une édition spéciale, au coeur de
"pistarde", inspirée de la Valour dans une
version plus légère et extrême.
Plus
récemment, Alonso recevait livraison d'un modèle exceptionnel : la
Valkyrie. Façonnée
sur-mesure, l'hypercar présente la livrée British
Racing Green, chère à Aston Martin, avec des
graphismes contrastants en AMR Satin
Lime, des teintes Speed Red
et des nuances de bleu clair et foncé.
Des fibres de carbone exposées ornent le toit, le
capot moteur et les éléments aéro inférieurs, tandis qu'un badge
Aston Martin en titane trône sur le museau. A l'intérieur, les
ingénieurs ont glissé une pédale d'accélérateur en
aluminium anodisé rouge, gravée du 14, le numéro choisi
par l'Ibère pour courir sur les circuits.
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