F1 - Le Panama voudrait son Grand Prix de Formule 1

Le Panama envisagerait d'organiser un Grand Prix de Formule 1 dans sa capitale. Un tracé serait déjà à l'étude.
Le Grand Prix du Panama va-t-il intégrer le calendrier de la Formule 1 ? Selon le quotidien panaméen Mi Diario, la capitale du pays, Panama City, envisage d'organiser une course.
En octobre 2019, le cabinet d'architectes Mallol Arquitectos a mené une étude de faisabilité. Le cabinet a imaginé un potentiel tracé dans les rues de la ville. Le circuit emprunterait différentes avenues et une longue ligne droite passerait le long de la côte pacifique.
Mi Diario précise que le projet pourrait se concrétiser en 2022, avec une course possible au mois de mars. Le circuit de Panama City offrirait plusieurs avantages, comme la proximité de la mer, l'espace nécessaire pour les stands et le paddock, et la présence d'infrastructures hôtelières suffisantes. Certaines portions de la piste seraient cependant assez étroites. Le circuit de Bakou a cependant un passage large de seulement 7,6m.
La Formule 1 veut se produire dans de grandes villes
Mi Diario ne précise pas si les différents acteurs de la Formule 1, que ce soit Liberty Media, en charge de l'aspect commercial, ou la FIA, en charge des règlements et de la sécurité, sont en contact avec les responsables du projet.
La Formule 1 a fait part de sa volonté de se développer sur de nouveaux marchés et dans de grandes villes. Le Viêt Nam va avoir sa première course en 2020, dans les rues de Hanoï. Le championnat travaille depuis plusieurs années sur un projet à Miami, qui a changé de localisation et relancé en 2019, avec une possible concrétisation pour la saison 2021.
Un projet à Londres est régulièrement évoqué. Des rumeurs ont aussi évoqué une course à Marrakech, qui accueille déjà le WTCR et la Formule E. La Formule 1 n'a pas de course en Amérique Centrale et ce marché pourrait intéresser le championnat.
De nouvelles courses devraient voir le jour dans les prochaines saisons puisque le règlement 2021 permet d'avoir jusqu'à 25 courses, une mesure qui inquiète certains patrons d'équipes et certains pilotes.
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