Bugatti : des nouvelles lunettes aussi "abordables" que les hypercars ?

Présentée lors du salon SILMO 2025 ainsi qu’à un cercle restreint d’invités privilégiés réunis chez Luxury Living Paris, la dernière collection Bugatti Eyewear rend hommage à la capitale française.

"Bugatti Eyewear" : le luxe porte des lunettes

Imaginée sous l’impulsion de Sascha Koettig, PDG d’Optical Business International, elle ouvre le chapitre d’« Une Nouvelle Ère du Design ». L’identité visuelle de la gamme a été repensée, puisée dans les lignes de la nouvelle Bugatti Tourbillon.
Pièce maîtresse de cette collection : la Tourbillon Limited Edition. Conçue en titane grâce à l’impression 3D et inspirée par l’aérodynamisme arrière de l’hypercar éponyme, cette monture est produite à seulement 100 exemplaires. Chaque paire est présentée dans un écrin en fibre de carbone sur mesure, dans un étui en polyamide également imprimé en 3D.
Deux autres modèles viennent enrichir l’offre. Le Modèle 36, premier sans cerclage de la marque, affirme un style minimaliste et technique. Le Modèle 100, quant à lui, revisite l’esprit aviateur à travers une combinaison de fibre de carbone et de corne, soulignée par des teintes modernes. Sa conception s’illustre par la charnière à ressort signature EB et des incrustations raffinées en maille plaquée argent, or blanc ou or 24 carats.
Enfin, la collection s’élève vers le très exclusif avec la Precious Collection. Pensée pour les amateurs de pièces d’exception, elle rassemble des montures uniques réalisées à la main par des artisans d’Anvers. Diamants VVS1, pierres précieuses, verres facettés, gravures et finitions en métaux nobles en font de véritables objets de collection.

Bugatti Tourbillon : comment est né son fameux moteur V16 ?

Depuis 116 ans, Bugatti se distingue par sa quête d’excellence pour repousser sans cesse les limites de la performance. Cette philosophie se poursuit dans la nouvelle ère de la marque, inaugurée par la Tourbillon succédant à la famille Chiron.
Au cœur de ce chapitre inédit : le V16. Le travail sur ce moteur fut initié en 2021 lorsque Mate Rimac, désormais le seul maître à bord chez Bugatti, initia un partenariat avec Cosworth, spécialistes des moteurs à combustion interne de haute performance.
Contrairement aux tests classiques de pré-développement, débutant généralement par l’assemblage d’un moteur prototype monocylindre, la marque opta pour une approche plus ambitieuse.
"Nous construisons une hypercar Bugatti donc, naturellement, le nombre de cylindres doit être conséquent ; c’est pourquoi nous avons opté pour un moteur prototype à quatre cylindres plutôt qu’un monocylindre", explique Marco Arnoletti, Ingénieur en chef chargé du groupe motopropulseur chez Bugatti Rimac.
"Cette approche nous permet de mieux cerner les caractéristiques en termes de performance, de qualité sonore et de comportement général du moteur." Découvrez-en plus dans notre article.