BYD YangWang U9 Track Edition : cette hypercar chinoise ridiculise Rimac et Bugatti !

La guerre des chiffres bat son plein dans le monde des hypercars électriques...

BYD YangWang U9 Track Edition : 3.016 chevaux sous le capot !

Alors qu’il y a encore quelques années, franchir la barre des 1 000 chevaux relevait presque du fantasme, cette limite paraît aujourd’hui bien dérisoire. Rimac, Lotus, Bugatti : toutes ces marques rivalisent d'ingénierie pour repousser les frontières de la puissance. Mais voilà qu’un nouvel outsider en provenance de Chine pourrait leur faire de l'ombre : BYD.
Connu pour ses voitures électriques abordables inondant les marchés, BYD s'est aussi lancé dans la conception d'hypercars via sa marque premium Yangwang. Son première modèle, la U9, avait déjà secoué le cocotier avec 1.300 chevaux sous le capot.
Le grand rival de Tesla allait-elle en rester là ? Evidemment que non. Voici que débarque la Yangwang U9 Track Edition, une "petite soeur" encore plus radicale et taillée pour la piste avec une cavalerie annoncée de... 3.016 chevaux !
Son secret ? Quatre moteurs électriques, un par roue, délivrant chacun 754 équidés. Au total, cette nouvelle U9 Track Edition est plus puissante de 1000 chevaux que la Rimac Nevera R, jusqu’ici considérée comme la référence absolue en matière d’hypercar électrique.
Officiellement, aucune donnée de performance n’a encore filtré, mais vu que la U9 "standard" catapulte déjà ses occupants de 0 à 100 km/h en 2,36 secondes, on imagine que la Track Edition pulvérisera ces chiffres sans trop peine...

BYD YangWang U9 Track Edition : un look radical

À l’extérieur, la Track Edition ne fait pas semblant de jouer la différence. Lames en carbone, déflecteurs encore plus acérés et aileron fixe façon GT3 renforcent son identité radicale. Tout est pensé pour la piste, même si personne ne sait encore quand, ou si, BYD osera confronter sa création à un chronomètre sur un quelconque circuit.
La U9 n’est pas seulement qu'une question de chevaux. Elle surprend aussi par ses technologies, comme une suspension pneumatique active capable de limiter le tangage en virage, mais aussi de faire sautiller ou tourner la voiture sur elle-même !
Si l’on se fie aux tarifs chinois, cette future YangWang devrait surpasser sa devancière "classique" qui se négocie tout de même autour des 200.000 euros.
Quand on voit que des hypercars signées Rimac, Pininfarina, Koenigsegg ou Bugatti, qu'elles soient mues, entièrement ou partiellement, par la technologie de l'électrique ou s'en remettent encore à une motorisation essence, s'échangent de nos jours à coups de millions d'euros, un tarif pareil peut apparaître presque comme "dérisoire" en comparaison...