F1 - Grosjean a de bons souvenirs de Sakhir

Romain Grosjean apprécie beaucoup le circuit de Sakhir. Il y a souvent décroché de bons résultats ces dernières années.
Ce week-end, Romain Grosjean va retrouver le circuit de Bahreïn,
l'un de ceux qui lui a le plus réussi en F1. C'est la seule pilote
où il a décroché deux podiums, avec la troisième place en 2012 et
en 2013, et il reste sur une très belle cinquième place l'an
dernier, dans la deuxième course de Haas.
« J'aime la piste de Bahreïn, » indique Grosjean.
« Sur le papier, on ne dirait pas que c'est la plus
passionnante, mais c'est assez fun d'y rouler. De gros freinages,
j'aime freiner tard. J'aime freiner fort et tard. »
« Ca explique probablement mes séances de qualifications en
2012 (7ème) et 2013 (11ème). J'aurais pu faire mieux. La voiture
gérait bien les pneus en course. C'est dur sur les pneus aussi,
mais je gérais bien ça, ça a probablement aidé aussi. »
« J'adore rouler à Bahreïn. »
Grosjean a un très bon souvenir de 2016
L'édition 2016 reste très particulière pour Romain Grosjean. Il
restait sur une très belle sixième place à Melbourne, mais le
drapeau rouge lui avait permis de changer de pneus sans faire
d'arrêt aux stands. A Sakhir, sa cinquième place était due aux
performances de la monoplace.
« Bahreïn était assez spécial l'an dernier, » se souvient
Grosjean. « Evidemment, en arrivant de l'Australie, nous
avions eu un peu de chance avec le drapeau rouge, nous n'avions pas
de meilleures attentes en arrivant à Bahreïn. »
« Dès la première séance, je pensais que la voiture n'était
pas mauvaise. En Qualifications, nous avons réussi à être neuvième,
c'est ce que nous voulions, ne pas entrer en Q3, qui représentait
le top huit à l'époque. Nous savions que nous avions un train de
pneus (neufs) pour la course. »
« Nous avons eu une stratégie très agressive. Nous avons eu
notre tout premier arrêt en course, c'était une stratégie à trois
arrêts. La voiture se comportait bien. J'ai fait des
dépassements. »
« Avant de m'en rendre compte, j'ai vu l'arrivée à la
cinquième place. Ce n'était pas dû à la chance ou quoi que ce soit.
C'était dû aux performances pures de la voiture. C'était une course
assez spéciale. Je me rappelle encore d'avoir pris beaucoup de
plaisir en pilotant la voiture. »


