F1 - GP du Canada : Les meilleures radios

Les meilleurs messages radio du Grand Prix du Canada. La colère de Sebastian Vettel, l'agacement de Kevin Magnussen, la malchance de Romain Grosjean...
Après chaque course, la Formule 1 compile les meilleurs messages radio du week-end. A Montréal, Sebastian Vettel a contesté sa pénalité, s'estimant volé et jugeant les commissaires « aveugles » (vidéo), Kevin Magnussen s'est agacé avant d'avoir une réponse de Günther Steiner, son patron (vidéo), Daniel Ricciardo a brillé en qualifications (vidéo), Romain Grosjean a perdu tout espoir en qualifications à cause d'un accident de Kevin Magnussen (vidéo), Pierre Gasly a eu de grosses vibrations pendant les essais (vidéo) et Max Verstappen a touché le Mur des Champions en étant gêné par le Français (vidéo).
Vous pouvez également découvrir ces messages radio en vidéo.
Essais Libres 2 : Verstappen gêné par Gasly
Max Verstappen :
« J'ai touché le mur ! A la sorti du dernier virage. Pierre était très proche devant. »
Essais Libres 2 : Grosses vibrations pour Gasly
Pierre Gasly :
« J'ai beaucoup de vibrations sur ce train. »
Ingénieur :
« Compris, ça s'entend. »
Essais Libres 3 : Räikkönen surpris par une taupe
Kimi Räikkönen :
« Ok, il y a cet animal sur la piste. Avant le virage 6. Au milieu de la piste. Je ne sais pas comment ça s'appelle. »
Q2 : Gros accident pour Magnussen
Romain Grosjean :
« Keeev ! Kev !
Ingénieur :
« Drapeau rouge, drapeau rouge. VSC, VSC »
Romain Grosjean :
« C'est notre chance (qui continue), mec. C'est notre chance. »
Ingénieur :
« On était sur un très bon tour, ce tour aurait été très bon. »
Romain Grosjean :
« Je n'arrive pas à y croire. Je n'arrive pas à croire la chance que j'ai, mec. »
Q3 : Ricciardo très bien placé
Ingénieur :
« Boulot incroyable mec ! Quatrième, quatrième, bien joué ! »
Daniel Ricciardo :
« Ah ah aaah ! Ouiiiiiiii ! ****** oui ! »
Tour 1 : Grosjean gêné par l'incident du départ
Ingénieur :
« Ca ? Ca va ? »
Romain Grosjean :
« Oui, ça va, mais j'ai percuté tous les débris d'ailerons des mecs. Ils jouent leur vie au premier virage. Ridicule. »
Ingénieur :
« Est-ce que ton aileron avant est en bon état ? »
Romain Grosjean :
« Oui, je pense, je pense que j'ai juste percuté les débris des autres. »
Tour 8 : Norris abandonne
Lando Norris :
« Il y a quelque chose qui fume à l'arrière ! L'école de frein fume à l'arrière. »
Ingénieur :
« Oui, les freins sont très chauds, les freins sont très chauds. »
Lando Norris :
« J'ai une crevaison, j'ai une crevaison. »
Ingénieur :
« Ok »
Lando Norris :
« Crevaison à l'arrière-droite, il y a quelque chose. »
Ingénieur :
« Ok, compris. »
Lando Norris :
« Aah ******. »
Ingénieur :
« Nous allons... »
Lando Norris :
« Je vais devoir m'arrêter. »
Ingénieur :
« Ok, arrête toi sur un côté Lando, arrête toi sur un côté s'il te plaît. »
Tour 48 : Vettel sort de la piste et reçoit une pénalité
Lewis Hamilton :
« Il est revenu sur la piste d'une manière très dangereuse ! »
Ingénieur
« Oui, compris Lewis, nous sommes dessus. »
Après la pénalité :
Ingénieur :
« Nous avons une pénalité de cinq secondes en temps. »
Sebastian Vettel :
« On passe dans l'herbe et on revient, on a une adhérence incroyable. Où est-ce que je suis censé allé ? J'avais de l'herbe sur mes roues ! C'est sa faute s'il décide de passer de ce côté. S'il avait plongé à l'intérieur, il m'aurait doublé ! »
Ingénieur :
« Ok, reste concentré, compris, reste concentré. »
Sebastian Vettel :
« Je suis concentré ! Mais ils nous volent la course ! »
Tour 55 : Magnussen s'agace, Steiner répond
Kevin Magnussen :
« C'est la pire expérience que j'ai connue dans une voiture de course. De toute ma vie. »
Ingénieur :
« Personne n'est concent de ce rythme. Les mecs sont restés toute la nuit pour réparer la voiture donc finis la course. »
Kevin Magnussen :
« Je sais, mais... Je sais. »
Günther Steiner, patron de Haas :
« Cela veut dire que pour nous ce n'est pas agréable non plus. Ça suffit maintenant, c'est ce que cela signifie. Ça suffit. »
Arrivée : Hamilton s'impose
Lewis Hamilton
« Ce n'est pas la façon dont je voulais gagner, naturellement, je voulais gagner, mais je j'aurais doublé passé sans ce mur, donc... Merci pour votre soutien sans faille et votre confiance. Je vous aime les mecs ! »
Ingénieur :
« Bravo Lewis, c'est mérité. Un très bon week-end. »
Arrivée : Vettel furieux
Sebastian Vettel :
« Non, non, non, les mecs. Non, non, non, pas comme ça. Pas comme ça, non, non, non. Sérieusement. Il faut être absolument aveugle pour penser qu'on peut passer dans l'herbe et garder le contrôle de la voiture ! J'ai eu de la chance de ne pas percuter le mur ! Où est-ce que je suis censé aller ? Ce monde ne tourne pas rond. Je vous le dit. C'est injuste. Un super public, une super course. Raggazzi, grazzia. »
Mattia Binotto, patron de Ferrari :
« Tu as gagné la course en piste. C'est ce qui compte le plus. Tu es le vainqueur pour nous aujourd'hui. Pour l'équipe. Nous apprécions tes efforts. Reste concentré, garde ton calme. Nous allons faire ce que nous pouvons... »
Sebastian Vettel :
« Je ne garde pas mon calme. C'est injuste. Je suis en colère ! Et je pense que vous savez pourquoi. Et j'ai le droit d'être en colère. Je me fiche de ce que disent les gens. »
Drapeau à damier : Leclerc découvre la pénalité
Ingénieur :
« Premier, Sebastian, deuxième, Hamilton, et toi troisième. Sebastian a une pénalité de cinq secondes. »
Charles Leclerc :
« Mais il gagne quand même non ? »
Ingénieur :
« Euh, il sera deuxième. »
Charles Leclerc :
« Aah, ****. Ok. C'est vraiment dommage pour la pénalité. Vous méritez tous de gagner. »
Drapeau à damier : Stroll ravi
Ingénieur :
« Drapeau à dam... »
Lance Stroll :
« Woooouh ! Oui les mecs ! Allez ! »
Ingénieur :
« Beau boulot Lance, bien joué, bon pilotage. »
Lance Stroll :
« Oui ! Course incroyable ! Incroyable ! Chez moi bébé ! »
Drapeau à damier : Magnussen présente ses excuses
Kevin Magnussen :
« Les mecs... je suis désolé. Je sais que vous êtes aussi frustré que moi. Ouais, désolé. »
Ingénieur :
« Compris Kevin, nous allons en discuter ensemble. »
Kevin Magnussen :
« Et aux mecs dans le garage, un grand pardon. Vous avez été excellents, comme toujours. »