F1 - Alonso ne se voit pas favori

Publié le 7 octobre 2010 à 16:01
Mis à jour le 20 novembre 2020 à 19:10
F1 - Alonso ne se voit pas favori

Fernando Alonso pense que Red Bull sera difficile à battre à Suzuka. Il pense que les cinq candidats au titre ont tous des chances égales.

Red Bull a l'avantage sur les circuits avec des courbes rapides. Cela s'est vu à Sepang, Barcelone et Silverstone cette année. Fernando Alonso, vainqueur des deux dernières courses, pense donc que Sebastian Vettel et Mark Webber seront très rapides à Suzuka... mais pas imbattables !
« Je pense que cette piste devrait favoriser les leaders du championnat, mais cela ne veut pas dire à 100% qu'ils vont gagner, » estime le pilote Ferrari.
« Nous devons les maintenir sous pression, parce que je pense qu'il est difficile de dire qui sera le favori sur les trois dernières courses de la saison. Ce sera dur pour nous, mais j'espère que ce sera dur pour tout le monde ! »

Alonso ne se voit pas favori

Fernando Alonso est l'homme fort du moment, avec quatre podiums en cinq courses, et surtout deux victoires consécutives. Il reste cependant prudent sur ses chances et il n'exclut aucun de ses rivaux.
« Il y a encore cinq pilotes qui ont une chance de remporter le titre et je pense que McLaren va redevenir très dangereux » prédit Alonso. « Donc c'est très ouvert. Si on regarde les deux dernières courses, on peut dire que je suis le favori, mais nous avons vu cette année qu'un pilote peut être très bon pendant deux courses puis avoir des mauvais résultats, puis des bons à nouveau... Personne n'a réussi à enchaîner six courses constantes. »

La gestion d'une lutte à cinq

Alonso veut être prêt à toutes les situations: « Je suis certain que nous allons à nouveau connaître des mauvais moments, mais il faut se préparer à gérer ça et à ne pas paniquer, en marquant le plus de points possible à chaque course, » explique l'Espagnol. « Ce peut être un podium ou une cinquième place, mais il faut que nous restions unis et calmes. »
« Avec cinq pilotes dans la lutte pour le titre, c'est clairement plus difficile que quand on ne surveille qu'un rival. Il y a plus de choses à contrôler. Par exemple, si on est face à un seul pilote, on regarde ce qu'il fait, on essaie de sortir en Q1 en même temps que lui. Avec cinq pilotes, c'est plus dur à contrôler. »

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