Sept rapports sur la Nissan GT-R

Selon des proches du bureau de recherche et de développement de Nissan, la prochaine version de la GT-R récupérerait une boîte double embrayage à sept rapports à la place de l’actuelle à six grades. Un rapport de plus devrait améliorer les consommations de la voiture, à moins que Kazutoshi Mizuno, ingénieur en chef, ne décide de raccourcir la course de chaque vitesse pour améliorer l’accélération.

La boîte à l'arrière, le moteur devant

En transmission intégrale, la GT-R propose une localisation de boîte très particulière. Localisée à l’arrière juste devant le différentiel, elle "retourne" la puissance aux roues avant via un arbre de transmission en parallèle de l’arbre moteur collé au V6 3.8 L. Cette technologie, sans doute compliquée à mettre au point (et lourde, 1.740 kilos à vide pour la GT-R) est propre à Nissan, sous le nom ATTESA (Advanced Total Traction Engineering System for All-Terrain).

En perpétuelle évolution

Les améliorations sur la Nissan GT-R 35 sont quasiment annuelles. Tout les ans, l’équipe Nissan dépêchée sur le Nürburgring trouve à redire sur Godzilla. Le processus commercial rentre alors en compte et ces perfectionnistes de Nissan mettent à jour la voiture qui est ensuite proposée aux clients. Depuis 2009, l’année de son lancement, la GT-R a été proposée à 485 ch, puis 530 (2011) pour se limiter à 550 l’année dernière.
Si le style global de la voiture n’est pratiquement pas modifié, on a vu l’apparition des diodes à l’avant et de petites prises d’air dans la lèvre avant (ventilation des freins). Les réglages de suspensions ont aussi été optimisés.