F1 - Alonso pense aussi aux 24H du Mans

Après avoir annoncé sa participation aux 500 miles d'Indianapolis, Fernando Alonso envisage maintenant de disputer les 24 Heures du Mans, peut-être dès 2018.
Derrière la participation de Fernando Alonso aux 500 miles
d'Indianapolis se cache une volonté de remporter la Triple
Couronne, avec également des succès au Grand Prix de Monaco et aux
24 Heures du Mans. Alonso a déjà gagné deux fois à Monaco mais il
n'a pas encore pris le départ des 24 Heures du Mans. Quand le
fera-t-il ?
- Alonso estime que Dennis aurait dit non
« Je ne sais pas, » a répondu l'Espagnol en conférence de
presse à Sakhir, avant de s'amuser de la situation : « C'est
entre le Canada et Bakou non ? On verra combien de correspondances
ça fait en avion ! »
« C'était aussi en débat pour cette année, en partie parce que
Zak (Brown, le directeur exécutif de McLaren), en bon Américain,
voulait que je fasse les 500 miles d'Indianapolis et qu'Eric
(Boullier, le directeur de la compétition), en bon Français,
voulait que je fasse les 24 Heures du Mans, donc j'avais deux bons
amis. »
Une place en LMP1 n'est pas envisageable et ni McLaren ni Honda
n'ont d'implication en endurance. Au contraire, aligner une
monoplace en IndyCar, où Honda est motoriste, était beaucoup plus
simple : « Je pense que le partenariat McLaren-Honda, pour
rouler aux 500 miles d'Indianapolis, était très attirant cette
année, » précise Alonso.
Une participation peut-être en 2018
Fernando Alonso a souvent évoqué son intérêt pour les 24 Heures
du Mans. Une participation cette année est exclue mais il veut
participer à l'épreuve rapidement.
« C'est une chose que je ferai, probablement le plus vite
possible, » promet Alonso. « Je ne sais pas si ça sera
l'an prochain où les années suivantes. »
Mais cet intérêt pour les autres courses prestigieuses ne signifie
pas un manque d'implication en F1 : « La seule et première
priorité est la Formule 1, donc si je peux rouler en Formule 1 et
dans d'autres championnats, comme cette année, ça sera
génial, » estime Alonso. « Sinon, je ne ferai que de la
Formule 1. »


