F1 - Alonso: « Ce n'est pas un désastre »

Publié le 29 mars 2011 à 12:03
Mis à jour le 20 novembre 2020 à 17:58
F1 - Alonso: « Ce n'est pas un désastre »

Fernando Alonso ne s'inquiète pas après un Grand Prix en demi-teinte en Australie. Le pilote Ferrari a été impressionné par les pneus Pirelli.

Ferrari a déçu au Grand Prix d'Australie. la F150° Italia était loin du rythme de Red Bull mais aussi de McLaren, ce qui était moins attendu.
« Ce n'était pas le départ que nous espérions mais il n'y a pas de raison de s'inquiéter, » assure Alonso. « Je l'ai déjà dit sur le circuit : 12 points, ce n'est pas loin de la moyenne du champion l'an dernier, et deux candidats au titre ont fini derrière moi. Donc dans l'ensemble on ne peut pas dire que le Grand Prix d'Australie a été un désastre. »
« En qualifications, nous étions très loin de la Red Bull de Vettel et loin de la McLaren de Hamilton mais en course, c'était mieux. Peut-être pas par rapport à Sebastian mais par rapport aux autres. »

Alonso impressionné par les pneus

Fernando Alonso ne semble pas surpris par la domination de Red Bull et le pas en avant de McLaren. Il souligne surtout l'évolution du comportement des pneus Pirelli.
« Pour moi, il n'y a pas eu la moindre grande surprise, en particulier parce que je ne suis pas arrivé à Melbourne avec une idée claire de la hiérarchie, » souligne l'Espagnol. « Après les essais, surtout cette année, il est difficile d'avoir une vraie idée de la situation. »
« La seule bonne surprise a été le comportement des pneus Pirelli, qui, en tous cas à l'Albert Park, ont montré une dégradation plus faible que pendant les essais. Il faudra voir l'évolution en Malaisie à Sepang, sur une piste très différente. »

Des qualifications difficiles

Ferrari a surtout souffert en qualifications, avec des températures plus fraîches. Fernando Alonso ne pense pas que c'était un facteur déterminant. « Je ne suis pas du genre à penser qu'une différence d'un degré peut changer les performances de la voiture en piste, » explique-t-il. « Donc je pense pas que le fait qu'il faisait plus chaud dimanche que samedi a vraiment joué en notre faveur. »
« Vendredi, avec des températures similaires à celles des qualifications, la voiture s'est très bien comportée. Le lendemain, dès le matin ce n'était pas aussi bon et il faut comprendre ce qui s'est passé, en analysant les données. »
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