La presse italienne fustige Ferrari
La presse italienne se déchaine aujourd'hui, aprés les pietres
performances des Ferrari: Michael Schumacher 8eme et sortie de
route pour son coéuqipier Rubens Barrichello. "Disons la vérité :
c'était douloureux" titre La Repubblica.
La Gazzetta dello Sport, quotidien phare en iatlie, va plus loin:
"Ferrari ne peut pas devenir plus mauvais", peut-on lire. A
l'interieur, ce n'est guère plus glorifiant pour la Scuderia:
"L'équipe Ferrari a pris un coup humiliant, sur le circuit qui a
l'an dernier marqué une prouesse. Nous savions que Ferrari ne
dominerait pas autant, mais un changement si enorme en 12 mois, sur
le même circuit, n'aurait été évoqué par personne."
Le Corriere della Sera enfonce le clou: "Remerciez Dieu pour
Alonso, Il a pris la victoire et des points précieux à Raikkonen et
Montoya qui permetent à Schumacher de rester en tête du
championnat."
TuttoSport blâme également Ferrari: "Schumacher et Ferrari n'ont
jamais été dans la course. Ferrari savait qu'il fallait défendre la
position en Hongrie, mais ils ont continué à e battre comme un
boxeur fatigué. Le tour pris par Alonso a ressemblé à une vraie
claque. Ferrari ne doit pas tendre l'autre joue."
Le mot de la fin revient à Il Secolo XIX: "Crise Noire pour les
voitures Rouges"


