Transferts en F1 : Cadillac sur un coup fumant pour 2026 ?
Cadillac, la future 11e écurie en F1, pourrait-elle frapper un grand coup en enrôlant une pointure pour mener son projet à partir de 2026 ?
En cette période de trêve estivale propice aux vacances et à la recharge des batteries (de F1), l'actualité du sport-roi tourne comme toujours au ralenti. Mais voici qu'une nouvelle rumeur commence à bruisser avec insistance...
Christian Horner : quel avenir en F1 ?
Evincé avec fracas d'une écurie Red
Bull qu'il a bâtie pendant près de deux décennies,
Christian Horner pourrait-il rebondir dès
2026 à la tête d'une autre écurie ? Les spéculations
autour de l'avenir du Britannique court depuis juillet dernier.
Avec plusieurs solutions de rebond pour celui qui
fut le patron d'équipe le plus stable de l'ère moderne en F1.
Un temps pressentie, la piste Ferrari est
désormais bouchée avec la prolongation de contrat de Fred
Vasseur. Deuxième option : Alpine. Sauf
que, le 4 juillet dernier - soit cinq jours avant
la double annonce de Red Bull - l'écurie anglo-française publiait
la nomination de Steve Nielsen pour succéder à
Oliver Oakes, à partir de Monza le 1er
septembre.
Si Horner et Flavio Briatore, qui cumule les rôles
de conseiller spécial et de team principal
par intérim, s'entendent bien dans la vie, on doute fort
que l'Italien revienne sur sa décision pour propulser
l'ex-homme fort de Red Bull dans le siège du boss.
D'autant qu'avoir deux caractères aussi entiers
sous le même toit n'est pas forcément gage d'harmonie !
Cadillac F1 comme solution de rebond ?
La Scuderia Ferrari et Alpine
à rayer de la liste, et avec la stabilité qui semble régner du côté
des six autres formations du plateau (hors Red
Bull / Racing Bulls), que reste-t-il ? Pourquoi pas Cadillac ?
Mais, là aussi avec un hic : Graeme Lowdon. Passé
notamment par Virgin / Marussia entre 2010 et
2015, le Britannique de 60 ans se démène depuis
début 2025 en coulisses pour poser les bases de la nouvelle
structure américaine.
Si l'option d'enrôler un Horner, dix ans plus
jeune que Lowdon, peut apparaître comme tentante
pour les têtes pensantes de TWG et
General
Motors, effectuer un tel changement avant
même les débuts en 2026 ne serait pas un signal forcément
positif envoyé aux sponsors et
actionnaires. Demandez donc à
Audi ce qu'ils en pensent...
A moins que la tentation ne soit effectivement trop
forte de s'offrir les services de celui qui, en plus
d'avoir bâti l'empire Red Bull à partir de presque
rien, est aussi devenu l'une des figures les plus
reconnaissables de la F1 du 21ème siècle (merci
Netflix !). Un argument qui pourrait
faire pencher la balance au moment de songer à comment rendre votre
nouveau projet crédible sur le plan
marketing. Affaire à suivre...



