F1 - Sutil a eu du mal à gérer les pneus

Publié le 10 mai 2014 à 15:39

Mis à jour le 20 novembre 2020 à 12:39

Adrian Sutil n'a pas pu entrer en Q2 en Espagne, à cause de pneus qui surchauffaient. Il avait pourtant le problème inverse dans la matinée.

Esteban Gutierrez n'a pas pu faire mieux que le 14ème temps. Il pense qu'il ne pouvait pas faire mieux. Il est encouragé par les progrès de Sauber.
Nouvelle déception pour Adrian Sutil, éliminé dès la Q1 avec le 17ème temps. Il va gagner une place avec la pénalité de Jean-Eric Vergne. Il avait du mal à faire chauffer les pneus dans la dernière séance d'essais, mais ils surchauffaient en qualifications.

Esteban Gutierrez - 14ème

« C'était le maximum que nous pouvions décrocher, » estime le Mexicain. « Vu les difficultés que j'ai eues hier, l'équipe a fait un excellent travail pour corriger les choses. Nous avons clairement eu des problèmes que nous devons résoudre, mais être plus proche de la concurrence nous motive. »
« Evidemment, nous ne sommes as complètement satisfaits de l'issue aujourd'hui, mais avec un peu plus de travail nous pouvons trouver les derniers dixièmes pour être dans le top 10. Pour demain ce sera un gros défi parce que la température de la piste sera probablement assez élevée, et les pneus sont difficiles à manier dans ces conditions. Comme toujours, nous ferons de notre mieux. »

Adrian Sutil - 17ème (16ème sur la grille)

« Ce n'était évidemment pas le résultat que j'espérais, » reconnaît l'Allemand. « Malheureusement nous avons travaillé dans la mauvaise direction aujourd'hui. Dans la troisième séance j'ai eu du à faire monter les pneus en température, mais en qualifications c'était l'exact opposé. Les pneus surchauffaient pas mal. Nous avons réalisé ça après le deuxième relais et nous avons tenté de progressé pour le dernier relais. Nous avons réussi dans une certaine mesure, mais la plupart des réglages étaient déjà faits. Je pense que ça nous a coûté presque une seconde au tour. »
« Nous avons appris quelque chose (...), et je pense que nous pouvons quand même décrocher quelque chose d’où je pars. »