F1 - Force India reste optimiste

Publié le 15 septembre 2016 à 10:08
Mis à jour le 20 novembre 2020 à 07:47
Nico Hülkenberg

Force India espère repasser devant Williams au championnat, avec plusieurs courses qui devrait l'aider en fin de saison. Les pilotes apprécient Singapour.

Force India a perdu la quatrième place du championnat à Monza, au profit de Williams. L'équipe reste satisfaite d'avoir marqué des points et elle pense pouvoir repasser devant.
« Se qualifier et faire la course dans le top 10, cela a représenté un bel accomplissement quand on prend en compte que nous n'avons jamais vraiment trouvé les réglages parfaits, » souligne Vijay Mallya, le patron de l'équipe. « Les cinq points que nous avons marqués pourraient être utilises à la fin de l'année. »
« Finir la saison européenne à seulement trois points de la cinquième place est un accomplissement excellent. Je suis optimiste pour que certaines des prochaines courses jouent plus sur nos forces que Monza et je suis impatient de voir le gros travail nécessaire pour décrocher la quatrième place au championnat. »

Pérez et Hülkenberg apprécient la piste

Sergio Pérez apprécie le circuit de Singapour. Il faut à tout prix éviter les erreurs et le pilote peut faire la différence s'il prend les risques adéquats.
« L'élément clé pour être rapide à Singapour, c'est la précision, » estime le Mexicain. « Il faut exploiter chaque milimètre de la piste, presque embrasser les murs et avoir une voiture stable à l'arrière. C'est un circuit qui peut vous piéger et je ne me souviens pas d'une course sans voiture de sécurité là-bas, donc les courses peuvent être chamboulées à tout moment. C'est aussi une piste qui récompense le courage et où le pilote peut faire une grosse différence. »
Nico Hülkenberg trouve cette piste difficile pour les réglages et exigeante physiquement : « La piste est très dure, » souligne-t-il. « Le tour est très long, avec beaucoup de virages et en soi c'est une difficulté supplémentaire quand on tente de trouver un équilibre pour les réglages avec les ingénieurs : ça n'en finit jamais ! Au niveau du pilotage, ça rend vraiment difficile de réussir tous les secteurs et de faire le tour parfait. Il faut aussi très chaud et humide, on est dans la voiture pendant près de deux heures dans des conditions très chaudes... Ca vous sollicite vraiment. »

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