F1 - Vettel n'a pas tout montré

Sebastian Vettel a signé le troisième temps dans la matinée et le quatrième dans l'après-midi. Il est satisfait des nouveautés de Ferrari, dont les rétroviseurs fixés sur le halo.
« Tout ce que nous avons mis sur la voiture a l’air de fonctionner et c’est important, » souligne Vettel. « Je pense que le plus gros changement vient des pneus, qui ont l’air assez différents. Je ne sais pas s’ils sont mieux qu’avant. »
« Concernant les rétroviseurs, ce n’est pas un gros changement. Avant, c’était assez difficile de voir les voitures derrière nous. Maintenant, ils sont mieux placés et nous pouvons voir un peu sous l’aileron arrière. »
Il n’a pas encore visé la performance pure : « Si on a confiance dans la voiture, il n’y a aucune raison de rouler à la limite pour le moment, » explique-t-il. » Nous espérons avoir la même confiance qu’à Bakou, où j’ai pu exploiter la voiture quand j’en avais besoin. »
« C’était assez glissant et il y avait du vent aujourd’hui, c’était une journée mitigée. Nous pouvons encore travailler sur la voiture et je pense que nous serons meilleurs demain. »

Räikkönen a eu un problème technique

Kimi Räikkönen était cinquième dans la première séance. Il a pris la sixième place dans l'après-midi. Il a dû revenir aux stands au ralenti à cause d'un souci sur son groupe propulseur. Il juge les conditions de piste difficiles mais il a pu faire de bons essais.
« La séance a été un peu chaotique, mais dans l’ensemble je pense que ce n’était pas trop mauvais, » estime le Finlandais. « Le vent a un peu compliqué les choses, mais nous savons que cela peut être comme ça à ce moment de l’année. »
« L’asphalte était le même que pendant les essais, mais évidemment les conditions météo sont différentes. Nous connaissons tous très bien cette piste mais à chaque fois que nous venons ici, nous repartons à zéro. »
« Nous avons testé différentes choses et nous avons appris des choses, c’était acceptable la majeure partie du temps. Ce n’était peut-être pas le vendredi le plus linéaire, mais je pense que nous savons plus ou moins ce qu’il faut. »
Il ne comprend pas son souci technique : « Nous ne savons pas encore ce qu’il s’est passé, mais nous allons comprendre. »
« Demain, nous devrions mieux savoir où tout le monde se situe. Je suis certain que ce sera disputé. »