F1 - Räikkönen est beaucoup plus à l'aise

Depuis le début de la saison, Kimi Räikkönen a eu beaucoup de mal à se sentir à l'aise dans la Ferrari. Il a fait de gros progrès.
« Nous avons progressé (...) et mes sensations se sont améliorées, mais c'est dur d'être très spécifique sur la raison précise, » a expliqué le Finlandais à Suzuka.
« A Singapour, nous avions quelques nouveautés et elles ont aidé. C'était probablement la meilleure sensation que j'ai eue dans la voiture de l'année. Elle était assez facile à piloter à nouveau. »
« Quand vous avez ça, tout devient plus facile et j'espère que nous allons continuer dans cette direction, avec ces progrès qui se confirment dans toutes les conditions. »

Les changements ont pris du temps

Ferrari et Kimi Räikkönen savaient ce qu'ils devaient faire pour progresser, mais ces changements ne pouvaient pas être rapides.
« Je savais que ça prendrais du temps, nous avons fait des changements à l'avant et à l'arrière aussi, » précise-t-il. « Ca a aidé le comportement de la voiture, en le rapprochant de ma préférence. »
« A Singapour c'était au mieux cette année et je savais à quoi m'attendre à chaque virage. Il y a encore beaucoup de domaines que nous pouvons améliorer pour que les choses soient comme je le veux, mais il n'a jamais été question de ne pas savoir quoi faire. C'est juste que ça prend du temps de changer certaines choses. »

Räikkönen a gardé son style de pilotage

Comme durant toute sa carrière, Kimi Räikkönen a jugé plus utile de faire des changements sur sa monoplace que d'y adapter son style de pilotage.
« Je n'ai pas eu à changer mon style de pilotage, » assure-t-il. « Le changer ne me rendrait pas du tout plus rapide. »
« Je peux piloter avec quelques problèmes, mais je sais que ce n'est jamais aussi bon que résoudre les problèmes. »
« J'ai été en Formule 1 pas mal d'années et je n'ai jamais changé mon style de pilotage, et je ne le ferai pas, parce que ce n'est pas la façon de résoudre les problèmes. »
Il ne pense pas que sa mauvaise saison l'a mis en danger: « J'ai un contrat donc je n'ai aucune inquiétude sur mon avenir. »