F1 - Palmer se sent « meilleur » qu'en 2016

Publié le 22 février 2017 à 11:44
Mis à jour le 28 novembre 2020 à 08:44
Jolyon Palmer (Renault) à Londres

Jolyon Palmer pense être meilleur qu'en 2016, grâce à toute l'expérience qu'il a pu acquérir. Il a vu Renault se transformer depuis un an.

Jolyon Palmer s'apprête à disputer sa deuxième saison chez Renault. Il a progressé l'an dernier et il a plusieurs fois pris l'avantage sur Kevin Magnussen dans les dernières courses. Il pense que cette expérience lui sera utile.
« Et bien de l'extérieur, je reste le même, » s’amuse l’Anglais. « Je ne suis pas plus large et je n'ai pas plus d’appui. J'ai énormément appris en 2016. Il y a un an, je n'avais jamais disputé un Grand Prix, je ne savais pas à quoi m'attendre et absolument tout était nouveau. Douze mois plus tard, j'ai vingt-et-un Grands Prix à mon actif. C’est un bon niveau d’expérience. Je connais très bien l'équipe et le constructeur Renault. »
« Je commence bien mieux l’année qu’en 2016, je sais à quoi m’attendre et je suis confiant pour repartir sur les chapeaux de roues. Je devrais être meilleur à tous les niveaux. »
Il est impatient de découvrir les effets du nouveau règlement : « C'est très excitant, » précise-t-il. « Il y a tellement d'inconnues que je crois que tous les pilotes sont enthousiastes. De notre côté, ce sera très intéressant d’avoir notre première monoplace conçue par nos soins. Cette génération devrait être amusante à piloter. Elles semblent très différentes et je suis impatient d'entendre les réactions des fans. La R.S.17 est vraiment typée ‘course’ et j’ai hâte d’y goûter. »
- Renault R.S.17: Les photos

Palmer sent l'évolution chez Renault

Jolyon Palmer était déjà dans l'équipe avant le rachat par Renault. Il l'a vue changer de dimension depuis un an, avec des recrues en nombre et des infrastructures renouvelées.
« Quand Renault a pris le relais, l'usine était assez calme, » se souvient Palmer. « Désormais, elle bouillonne et fourmille d'activité tant à l'intérieur qu’à l'extérieur. Les infrastructures passent au niveau requis pour jouer le titre à l’avenir. C’est formidable d’en être témoin. On remarque vraiment qu’il y a plus de gens, je dois même batailler pour trouver un emplacement où me garer lorsque j’y vais ! C'est une période vraiment passionnante pour être dans l’équipe. »
Il pense que Renault a tout pour réussir : « J'aime faire partie d'un grand constructeur international, » souligne-t-il. « Nous avons tout pour jouer les titres mondiaux à l'avenir et lorsque vous rencontrez les différents marchés dans différents pays, vous réalisez que toute l’organisation a faim de succès. C'est un honneur d’en faire partie. Nous ne sommes qu'un petit aspect de Renault dans son ensemble, mais nous avons les ressources derrière nous pour nous battre et faire sensation avec ce que nous faisons. Je suis évidemment membre de l'écurie de F1, mais j’ai le sentiment d’appartenir à une très grande famille mondiale. »

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