F1 - Palmer se sent « meilleur » qu'en 2016

Jolyon Palmer pense être meilleur qu'en 2016, grâce à toute l'expérience qu'il a pu acquérir. Il a vu Renault se transformer depuis un an.
Jolyon Palmer s'apprête à disputer sa deuxième saison chez
Renault. Il a progressé l'an dernier et il a plusieurs fois pris
l'avantage sur Kevin Magnussen dans les dernières courses. Il pense
que cette expérience lui sera utile.
« Et bien de l'extérieur, je reste le même, » s’amuse
l’Anglais. « Je ne suis pas plus large et je n'ai pas plus
d’appui. J'ai énormément appris en 2016. Il y a un an, je
n'avais jamais disputé un Grand Prix, je ne savais pas à quoi
m'attendre et absolument tout était nouveau. Douze mois plus tard,
j'ai vingt-et-un Grands Prix à mon actif. C’est un bon niveau
d’expérience. Je connais très bien l'équipe et le constructeur
Renault. »
« Je commence bien mieux l’année qu’en 2016, je sais à quoi
m’attendre et je suis confiant pour repartir sur les chapeaux de
roues. Je devrais être meilleur à tous les niveaux. »
Il est impatient de découvrir les effets du nouveau règlement
: « C'est très excitant, » précise-t-il. « Il y
a tellement d'inconnues que je crois que tous les pilotes sont
enthousiastes. De notre côté, ce sera très intéressant d’avoir
notre première monoplace conçue par nos soins. Cette génération
devrait être amusante à piloter. Elles semblent très différentes et
je suis impatient d'entendre les réactions des fans. La R.S.17 est
vraiment typée ‘course’ et j’ai hâte d’y goûter. »
- Renault R.S.17: Les photos
Palmer sent l'évolution chez Renault
Jolyon Palmer était déjà dans l'équipe avant le rachat par
Renault. Il l'a vue changer de dimension depuis un an, avec des
recrues en nombre et des infrastructures renouvelées.
« Quand Renault a pris le relais, l'usine était assez
calme, » se souvient Palmer. « Désormais, elle bouillonne
et fourmille d'activité tant à l'intérieur qu’à l'extérieur. Les
infrastructures passent au niveau requis pour jouer le titre à
l’avenir. C’est formidable d’en être témoin. On remarque vraiment
qu’il y a plus de gens, je dois même batailler pour trouver un
emplacement où me garer lorsque j’y vais ! C'est une période
vraiment passionnante pour être dans l’équipe. »
Il pense que Renault a tout pour réussir : « J'aime faire
partie d'un grand constructeur international, » souligne-t-il.
« Nous avons tout pour jouer les titres mondiaux à l'avenir et
lorsque vous rencontrez les différents marchés dans différents
pays, vous réalisez que toute l’organisation a faim de succès.
C'est un honneur d’en faire partie. Nous ne sommes qu'un petit
aspect de Renault dans son ensemble, mais nous avons les ressources
derrière nous pour nous battre et faire sensation avec ce que nous
faisons. Je suis évidemment membre de l'écurie de F1, mais j’ai le
sentiment d’appartenir à une très grande famille
mondiale. »


