F1 - Les essais ont donné confiance à Sainz

Carlos Sainz a une confiance « renforcée » après les essais privés. Le pilote Renault a toujours marqué des points à Melbourne.
Après une arrivée réussie pour les quatre dernières courses de
2017, Carlos Sainz va disputer sa première saison complète chez
Renault. Les essais hivernaux lui permettent d'aborder la première
course de l'année, à Melbourne, dans un état d'esprit positif.
« Je me sens bien et cette confiance a été renforcée par les
essais d’avant-saison, » souligne l’Espagnol. « Nous
avons engrangé beaucoup de données, et tant d’un point de vue
personnel que pour le compte de l’équipe, nous savons que nous
devons commencer l’année sur une bonne note en Australie. Tous nos
efforts seront consacrés à atteindre cet objectif. »
Sainz arrive bien préparé : « Je suis prêt et s’il y a bien
une manche pour laquelle vous êtes prêt, c’est l’Australie !
On y pense et on la prépare depuis des mois, d’où le surplus de
motivation lié à ce rendez-vous. J’ai fait de mon mieux pour
m’occuper durant l’intersaison avec beaucoup d’entraînement, une
apparition au Rallye Monte-Carlo et j’ai pris beaucoup de plaisir
lors des essais de Barcelone. Mais maintenant, il faut y aller et
nous devons mettre tout notre corps et notre esprit au travail pour
obtenir les meilleurs résultats possibles en 2018. »
Sainz a brillé à Melbourne
Carlos Sainz apprécie le Grand Prix d'Australie. Comme Nico Hülkenberg, il aime la piste et l'ambiance
qui entoure l'Albert Park. Il s'est toujours qualifié en Q3 et il a
toujours marqué des points sur ce circuit.
« C’est l’un de mes circuits préférés, non seulement pour son
tracé, mais aussi pour le week-end en lui-même, » précise
Sainz. « J’ai un bilan positif en Australie puisque j’ai
terminé deux fois neuvième et huitième l’année dernière. J’y suis
donc régulier. »
Le circuit ne pardonne rien, surtout avec la génération actuelle de
monoplaces : « Il y a un an, c’était la première course avec
les F1 plus larges et nous l’avons bien remarqué à l’Albert Park,
puisque nous avons dû ajuster nos trajectoires dans les virages
pour ne pas toucher les murs à cause de l’étroitesse de la piste.
Il n’y a aucune marge d’erreur et la moindre faute ne pardonne
pas ! »


