F1 - Grosjean avait une monoplace très instable

Esteban Gutierrez et Romain Grosjean ont été très en retrait au Grand Prix du Mexique, avec une monoplace difficile à manier. Gutierrez a aimé rouler chez luI.
Esteban Gutierrez était 14ème en début de course, après avoir
touché Pascal Wehrlein à la sortie du deuxième virage, et
l'Allemand a ensuite percuté Marcus Ericsson ce qui a provoqué
l'intervention de la voiture de sécurité virtuelle puis de la
voiture de sécurité. Il était 19ème après son premier arrêt et il a
gardé cette place jusqu'à l'arrivée. Il avait des soucis de freins
mais malgré cette course difficile, il reste satisfait d'avoir
roulé dans son pays.
« C'était une expérience incroyable, » souligne le
Mexicain. « Nous avons attaqué au début à la fin, en
repoussant les limites possibles avec la voiture que nous avions.
J'ai dû préserver les feins parce que nous avions des difficultés
avec leur refroidissement, donc je devais freiner beaucoup plus tôt
que ce que j'aurais aimé normalement. »
« Ce n'était pas idéal en essayant de remonter dans le
classement, mais c'était la seule chose à faire pour finir la
coure. J'aurais aimé que nous puissions faire mieux ce
week-end mais, malheureusement, nous n'avons pas pu le faire cette
fois. »
« Mais c'était un week-end incroyable, rouler dans mon pays
devant tous les Mexicains, et je tiens vraiment à les remercier
parce qu'ils ont fait de ça une course dont je me
souviendrai. »
Grosjean a eu une course très difficile
Romain Grosjean est parti des stands après ses qualifications
difficiles, pour que des changements soient faits sur sa voiture.
Il était 19ème en début de course et vite passé sur les médiums
mais il n'a pas pu remonter dans le classement. Il a eu des soucis
de freins. Il prend la 20ème place. La Haas avait un très mauvais
comportement.
« Nous avons essayé de changer quelques pièces pour analyser
ce qui n'allait pas, mais nous n'avons pas encore vraiment trouvé
le problème pour le moment, » déplore Grosjean. « La
voiture était juste nulle part aujourd'hui. Elle était très
difficile à manier et à piloter. »
« Rien n'a bien marché. C'était inconstant, avec beaucoup de
survirage et de sous-virage. Je ne savais jamais ce que ça allait
donner en piste. La voiture tirait à gauche au freinage. C'était
étrange. »
« C'était juste une journée très difficile. »


