Renault Une sanction avec sursis
L'audience a été brève au siège de la FIA, Place de la Concorde à Paris, et les délibérations ont débuté.
Selon Christophe Malbranque, commentateur des Grands Prix et envoyé spécial au siège de la FIA pour LCI, Renault pourrait recevoir une pénalité clémente, une exclusion de deux ans avec sursis.
L'équipe pourrait donc s'en tirer sans une lourde sanction grâce à bonne foi: elle n'a pas contesté les accusations de tricherie et les deux responsables, Flavio Briatore et Pat Symonds, ont quitté l'écurie.
Plusieurs personnes présentes à l'audience, dont Nelson Piquet Jr, ont quitté le siège de la FIA sans parler à la presse.
Le Brésilien accuse son ancienne équipe de lui avoir demandé de sortir de la piste à Singapour l'an dernier, pour permettre à Fernando Alonso de s'imposer, grâce à la voiture de sécurité.