L'avenir du GP de France compromis

Publié le 29 janvier 2009 à 15:00

Depuis l'abandon du projet Val d'Europe à Marne La Vallée, le projet Yvelines F1 était le plus sérieux pour reprendre l'organisation du Grand Prix de France. Vendredi, les sénateurs
ont adopté dans le cadre du plan de relance un amendement permettant l'autorisation expresse d'un circuit, qui devait faciliter l'avancement du projet.
Mardi, Pierre Bédier, Président du Conseil général et député des Yvelines, présentait le projet Yvelines F1 à une centaine de maires et plus de 400 adjoints aux maires, conseillers municipaux et généraux des Yvelines.
Mais mercredi, une commission mixte paritaire où des sénateurs et des députés étaient présents a supprimé l'amendement adopté par le Sénat. L'avenir du Grand Prix de France est donc à nouveau compromis.
Le projet Yvelines F1 estime pourtant les retombées économiques immédiates à 63 millions d'euros. 4 500 emplois pourraient être générés directement ou indirectement.

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