F1 - Vergne termine devant Ricciardo

Jean-Eric Vergne a battu Daniel Ricciardo au Grand Prix de Hongrie, mais cela ne suffit pas à le réjouir après une course difficile.
Jean-Eric Vergne a perdu deux places au départ, en chutant au
16ème rang, mais il a évité les problèmes et il a réussi plusieurs
dépassement sur la fin, pour prendre la 12ème place. Il termine
juste devant son équipier, après l'avoir doublé à quelques tours de
l'arrivée, alors qu'il s'élançait six places derrière lui. Il reste
déçu par le niveau de sa monoplace.
Daniel Ricciardo a perdu une place au départ et il était neuvième.
Il a dégringolé dans le classement à son premier arrêt et il n'a
jamais pu remonter. Il ne termine qu'au 13ème rang.
Jean-Eric Vergne - 12ème
« Une course difficile après que nous ayons vu hier, en
particulier avec Daniel, que la voiture a un bon rythme, mais en
course nous avons souffert et nous n'avons pas pu être au niveau de
nos rivaux habituels, » indique le Français. « J'ai fait
ce que je pouvais après un mauvais départ, ce qui signifie que j'ai
dû me battre pour revenir où j'étais. »
« Battre mon équipier ? Ca ne signifie rien, en
particulier quand vous êtes hors des points. Je préférerais finir
derrière lui dans les points. Les vacances débutent bientôt, mais
je me concentre toujours sur la course. Nous avons encore une
semaine à faire quand, avec les ingénieurs, il y a aura beaucoup de
travail. »
Daniel Ricciardo - 13ème
« Dès le départ, il était clair que nous n'étions pas
vraiment rapides, » estime l'Australlien. « J'ai tenté de
garder la place aussi longtemps que je le pouvais mais nous étions
bien trop lents. J'ai tenté mon mieux pour tenter de maintenir un
bon rythme et de préserver les pneus, mais (...) ce n'était pas
suffisant pour viser les points. Nous avons tiré un peu plus de la
voiture en qualifications hier, mais c'est dur de reproduire ça
pour 70 tours. »
« Nous avons aussi souffert au Nürburgring, donc la chaleur
doit avoir quelque chose à faire là dedans. Nous n'avons pas pu
être au niveau de nos concurrents (...), nous manquions (...) de
vitesse quand nous avions beaucoup de carburant. »
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