Toyota Supra, la suite le plus rapidement possible

Ce n’est plus une vague rumeur finalement, Toyota va bien donner suite à la Supra. C’est sous l’impulsion du patron de Toyota, Akio Toyoda, que le modèle va intégrer le bureau d’étude. Très attaché à la Supra, le directeur aurait déjà donné quelques directives à ses ingénieurs. Récemment, Testuya Tada, le motoriste des Toyota GT 86, affirmait que les ordres étaient simples : "faites une succession à la Supra le plus rapidement possible". Immédiatement, l’ingénieur a nuancé en expliquant "qu’il avait fallu cinq ans de développement" pour Hachirocku, et donc qu’il en faudrait autant pour la Supra 5.

Supra, au-dessus

La Supra, GT japonaise, a existé sur quatre générations. Disparue de la circulation depuis 2002, la Supra était d’abord attachée au modèle Celica. Dès la deuxième génération, elle récupère son propre châssis et glisse, avec plus d’aisance, le six-cylindre 2.0 L (ou 2.8 L) sur le train avant. Un "cran" au-dessus de la Celica, notamment en performances, la Supra sera surtout connue pour ses déclinaisons turbo sur les MK3 et MK4. Modèle très apprécié des préparateurs, la Supra est en effet une base technique saine et simple dès qu’il s’agit de rajouter de la puissance. Concurrente des Nissan 300 ZX et Mitsubishi 3000 GT, la Supra a incarné pendant près de 30 ans, le "top" du sport chez Toyota.

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