F1 - Magnussen salue le travail de Renault

Jolyon Palmer a eu une bonne journée vendredi au Grand Prix de Malaisie, mais Kevin Magnussen s'est fait peur avec l'incendie de sa monoplace.
Jolyon Palmer a pris la 19ème place dans la première séance. Il a signé le 12ème temps dans l'après-midi. Il est satisfait de sa journée.
« C’était une journée assez linéaire de mon côté du garage, » estime Palmer. « Je pense que toute l’action s’est concentrée chez Kevin aujourd’hui. Ce matin, nous avons eu quelques petits moments en repoussant les limites sur cette nouvelle surface de piste, mais c’est toujours très agréable de piloter sur ce circuit. »
« Nous avons réalisé des progrès décents pour l’après-midi et nous devrions bien être placés pour progresser à nouveau demain. »
Magnussen s'est fait une grosse frayeur
Kevin Magnussen n'a pas eu de chrono dans la matinée. Alors qu'il était poussé vers son garage après un tour d'installation, sa monoplace a pris feu à cause d'un souci de valve sur un nouveau système de pression d'essence. Il s'est très vite extrait de sa monoplace mais de l'essence sortait du dessus du capot moteur et il a fallu une dizaine de minutes avant que les mécaniciens puissent éteindre l'incendie et placer une pompe sur le carburant. Les dégâts étaient légers et Magnussen a pu prendre la piste avant la mi-séance dans la deuxième séance. Il a terminé au 19ème rang. Il est satisfait du travail de Renault après l'incendie et il estime que la monoplace a un peu trop de survirage.
« Nous nous attendions à ce qu’il fasse chaud à Sepang, mais peut-être pas à ce point ! » déclare le Danois. « Mon équipe a été très efficace pour contenir le feu et remettre la voiture en piste pour la deuxième séance. Pour ma part, j’ai entendu l’injonction de sortir à la radio, et pas besoin de me le dire deux fois ! L’après-midi, nous avons pu faire quelques tours. Ce n’était donc pas une journée à totalement oublier. »
« Avec les réglages initiaux, il y a un peu trop de survirage en entrée de virage, mais nous savons où nous voulons progresser. »