L'essai de la Rolex Cosmograph Daytona 116520

Dans l'inconscient collectif Rolex est aux montres ce que Ferrari est à l'automobile: une source inépuisable de rêves. Pour les connaisseurs la gamme Cosmograph Daytona, développée à l'origine pour des pilotes automobiles est l'objet de toutes les passions et de toutes les folies. Grâce à notre partenaire The Watch Observer, nous vous proposons aujourd'hui l'essai de la dernière génération baptisée 116520. Comme toujours chez Rolex, la finition et la réalisation du boitier poli sont impeccables et sobres. Une qualité reprise par le cadran blanc malheureusement entaché par une littérature trop présente sur la partie supérieure.

Mouvement

Le mouvement de la Cosmograph Daytona est composé de 290 pièces. Un nombre qui permet d'une part de limiter le poids de l'objet (et ainsi assurer un meilleur confort) et d'autre part de diminuer le risque de panne. Il dispose d'une autonomie de 72h (66h si le chronographe est activé).

Daytona

Cette Rolex, dont la première collection a été conçue pour des pilotes professionnels rappelle également une Ferrari du même nom, la 365 GTB Daytona. Le parallèle est facile mais justifié. Non pas parce qu'elles rendent toutes deux hommage à la célèbre course d'endurance, mais parce que malgré leurs défauts qui en repousseraient plus d'un, elles sont devenues de véritables mythes dans leur domaine respectif. Retrouvez l'intégralité de l'essai de la Rolex Cosmograph Daytona 116520 sur le site The Watch Observer.