Essai Sport Auto : Mercedes E 500 Cabriolet

Publié le 28 janvier 2014 à 17:43

Mis à jour le 29 novembre 2020 à 05:50

Par Mael_Pilven

Retour sur le circuit de la Ferté-Gaucher pour essayer la Mercedes E500 Cabriolet, une décapotable qui fleure bon la Californie.

Dans la galaxie Mercedes, si l’on veut du sport, autant aller regarder directement du côté des modèles AMG. On y trouve des berlines au tempérament rageur, des coupés qui ne demandent qu’à faire fumer la gomme et des cabriolets pour secouer les passagers, cheveux au vent. Mais si l’on a un tant soit peu de respect pour son brushing, on peut descendre dans la catégorie d’en-dessous. Et opter par exemple pour la dernière Classe E 500 Cabriolet.
Sous le capot se cache bel et bien un V8 développant tout de même 408 chevaux. Mais rien que la relative discrétion de sa sonorité traduit un tempérament feutré. Parfait pour les balades sous le soleil de Californie!

Quelques glissades

Cette référence à la côte ouest des Etats-Unis, on la doit à notre journaliste essayeur Julien Diez qui est parti essayer cette E 500 Cabriolet sur le circuit de la Ferté-Gaucher (77). C’est moins glamour bien sûr, mais ça n’empêche pas de décapoter! ESP (partiellement) déconnecté et c’est parti pour une série de glissades. Car oui, cette décapotable en est capable, sans trop se faire prier d’ailleurs. Mais avec un poids qui frise les 2 tonnes et une boîte automatique à 7 rapports "peu réactive" là n’est pas l’âme du modèle.
Quelle est la place alors de cette E 500 Cabriolet? Ses (presque) 90.000€ sont-ils justifiés? Réponse tout de suite en vidéo!