1/18 McLaren F1 (1992) : 3/4 avant roulantMcLaren F1 (1992) : 3/4 avant roulant
2/18 McLaren F1 (1992) : 3/4 avantMcLaren F1 (1992) : 3/4 avant
3/18 McLaren F1 (1992) : volantMcLaren F1 (1992) : volant
4/18 McLaren F1 (1992) : commandes centralesMcLaren F1 (1992) : commandes centrales
5/18 McLaren F1 (1992) : grilles arrièreMcLaren F1 (1992) : grilles arrière
6/18 McLaren F1 (1992) : profilMcLaren F1 (1992) : profil
7/18 McLaren F1 (1992) : 3/4 arrière orangeMcLaren F1 (1992) : 3/4 arrière orange
8/18 McLaren F1 (1992) orange portières ouvertesMcLaren F1 (1992) orange portières ouvertes
9/18 McLaren F1 (1992) : 3/4 avant orangeMcLaren F1 (1992) : 3/4 avant orange
10/18 McLaren F1 (1992) : 3/4 roulantMcLaren F1 (1992) : 3/4 roulant
11/18 McLaren F1 (1992) : moteur V12 6.1L de 635 chMcLaren F1 (1992) : moteur V12
12/18 McLaren F1 (1992) : portes en elytreMcLaren F1 (1992) : portes en elytre
13/18 McLaren F1 (1992) : 3/4 arrière roulantMcLaren F1 (1992) : 3/4 arrière roulant
14/18 McLaren F1 (1992) : intérieurMcLaren F1 (1992) : intérieur
15/18 McLaren F1 GT (1995) : 3/4 avantMcLaren F1 GT (1995) : 3/4 avant
16/18 McLaren F1 GT (1995) : 3/4 arrièreMcLaren F1 GT (1995) : 3/4 arrière
17/18 McLaren F1 GT (1995) : avant portes ouvertesMcLaren F1 GT (1995) : avant portes ouvertes
18/18 McLaren F1 GT (1995) : habitacleMcLaren F1 GT (1995) : habitacle
Dans le cadre des 25 ans de la McLaren F1, le constructeur de Woking a demandé à Gordon Murray de revenir sur la conception de la supercar. Cette dernière fut en effet la première voiture de route intégralement développée sous la supervision du célèbre ingénieur de Formule 1. Découvrez la vidéo (en anglais).
L'homme commence d'ailleurs par expliquer que le choix de la fibre de carbone pour l'ensemble châssis monocoque/carrosserie visait simplement à transposer sur la route ce qui se faisait en F1. Quant à la position centrale du conducteur, elle a deux raisons d'être. L'une d'elle est la volonté d'originalité et de rappeler, là encore, les monoplaces. L'autre est plus pragmatique, cette disposition permettant d'éviter la position décalée des pédales par rapport au pilote dont souffraient les supercars de l'époque.
Un record qui tient toujours
Murray s'arrête ensuite sur l'aérodynamique et son plaisir à n'avoir aucune contrainte due à la réglementation stricte de la compétition. Eléments mobiles, effet de sol et prise d'air de toit sont ainsi évoqués.
Cette dernière, de par l'admission dynamique dont elle faisait bénéficier le V12, a d'ailleurs joué un rôle important dans l'établissement d'un record de vitesse par Andy Wallace en 1998. En déconnectant le rupteur, le bloc a pu dépasser 9.000 trs/mn, permettant au coupé d'atteindre 391 km/h. De quoi rester depuis 25 ans la voiture de route à moteur atmosphérique la plus rapide du monde.