1/7 Aspark Owl (2019) : 3/4 avant gauche grisAspark Owl (2019) : 3/4 avant gauche gris
2/7 Aspark Owl (2019) : 3/4 avant gauche grisAspark Owl (2019) : 3/4 avant gauche gris
3/7 Aspark Owl (2019) : profil gauche grisAspark Owl (2019) : profil gauche gris
4/7 Aspark Owl (2019) : 3/4 arrière gauche grisAspark Owl (2019) : 3/4 arrière gauche gris
5/7 Aspark Owl (2019) : arrière grisAspark Owl (2019) : arrière gris
6/7 Aspark Owl (2019) : arrière grisAspark Owl (2019) : arrière gris
7/7 Aspark Owl (2019) : 3/4 arrière droit grisAspark Owl (2019) : 3/4 arrière droit gris
L'assemblage des premières Aspark Owl destinées à des clients a débuté et, à défaut de présence au salon de Genève 2020 puisque l'événement a été annulé, le constructeur nippon nous propose une vidéo dans laquelle on voit rouler sa supercar électrique sur route pour la première fois. Découvrez-la.
On y voit d'abord une pilote prendre le volant de la Owl sur circuit avant de revêtir ses habits de ville pour arpenter de sinueuses routes de montagne à bord du coupé. La Owl est produite par la Manifattura Automobili Torino et la vidéo semble avoir été tournée dans le nord de l'Italie.
Une vision rare et fugace
Aspark présente toujours la Owl comme la voiture de route proposant la meilleure accélération de 0 à 60 mph (96 km/h), un exercice qui ne lui prend que 1,69s selon ses concepteurs. L'auto tire 1.012ch, "environ" 2.000Nm de couple et une transmission intégrale de ses quatre moteurs électriques et peut atteindre 400 km/h en pointe d'après le constructeur. Sa batterie de 64 kWh offre une autonomie de 450km selon l'ancien cycle d'homologation NEDC, donc vraisemblablement moins avec la nouvelle procédure WLTP.
Seuls 50 exemplaires doivent être produits, et vendus au prix de base unitaire de 2,9 millions d'euros. Les premières livraisons avaient été annoncées pour le deuxième trimestre 2020 mais la pandémie de coronavirus pourrait les retarder.
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