1/12 Binotto : “Charles garde toute notre confiance” après la France !Alors qu’il menait la course, Charles Leclerc a certainement vu ses espoirs de titre s’envoler définitivement. Crédit Photo : Carl Bingham / LAT Images
2/12 Binotto : “Charles garde toute notre confiance” après la France !Au 18eme tour, le Monégasque a perdu le contrôle de sa Ferrari, l’encastrant dans le mur de pneus.
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3/12 Binotto : “Charles garde toute notre confiance” après la France !Un douloureux souvenir pour les fans de la Scuderia qui se rappelle encore du Grand Prix d’Allemagne 2018.
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4/12 Binotto : “Charles garde toute notre confiance” après la France !Interviewé à son retour dans le paddock, Leclerc était très critique envers lui-même.
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5/12 Binotto : “Charles garde toute notre confiance” après la France !Leclerc : "On fera les comptes en fin de saison mais si je conduis à ce niveau-là, je ne mérite pas de gagner le championnat.”
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6/12 Binotto : “Charles garde toute notre confiance” après la France !Une erreur d’autant plus frustrante quand on observe que le Monégasque avait un meilleur rythme que Verstappen et surtout moins de dégradation sur ses pneumatiques.
Crédit Photo : Carl Bingham / LAT Images
7/12 Binotto : “Charles garde toute notre confiance” après la France !Au classement des pilotes, Leclerc compte désormais 63 points de retard sur son rival Verstappen.
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8/12 Binotto : “Charles garde toute notre confiance” après la France !Un gouffre qui va pousser Ferrari à être agressif jusqu’à la fin de la saison.
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9/12 Binotto : “Charles garde toute notre confiance” après la France !Le patron de Ferrari, Mattia Binotto, a pris la défense de son pilote vedette.
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10/12 Binotto : “Charles garde toute notre confiance” après la France !Binotto : "Je n’ai pas parlé pas de l'accident. Il n'y a pas grand-chose à dire. C'est une erreur de pilotage, ça arrive."
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11/12 Binotto : “Charles garde toute notre confiance” après la France !Binotto : "Charles garde toute notre confiance. C’est un pilote fantastique. Il reste dix courses, et je suis sûr qu'il va faire de son mieux."
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12/12 Binotto : “Charles garde toute notre confiance” après la France !Après l’Espagne et Baku où Leclerc a perdu la victoire sur un problème technique, c’est cette fois-ci une erreur de pilotage qui coûte cher.
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Alors qu’il menait les débats, Charles Leclerc (Ferrari) a peut-être perdu une bonne partie de ses espoirs de titre en 2022 en encastrant sa Ferrari dans le mur de pneus du circuit Paul Ricard, au 18ème tour du Grand Prix de France.
Au classement provisoire du championnat du monde, Max Verstappen (Red Bull) possède maintenant 63 points d’avance sur son principal poursuivant alors que la trêve estivale pointe le bout du nez.
Leclerc, critique envers lui-même
Interviewé à son retour dans le paddock, Leclerc se montrait très critique envers lui-même, notamment au micro de Canal +.
"Il s’agissait juste d’une erreur", relate-t-il. "Il faut encore que je regarde le replay car c’est un peu bizarre la manière dont j’ai perdu le contrôle. On fera les comptes en fin de saison mais si je pilote à ce niveau-là, je ne mérite pas de gagner le championnat."
Une erreur d’autant plus frustrante que le Monégasque avait un meilleur rythme que Verstappen et surtout moins de dégradation sur ses pneumatiques.
Binotto garde confiance en son pilote
Après l’Espagne et Bakou, où Leclerc perdit la victoire sur un problème technique, et Silverstone, suite à une mauvaise stratégie, c’est une erreur de pilotage qui lui coûte cher ce week-end. Des choses qui arrivent selon le patron de Ferrari Mattia Binotto.
"Je n’ai pas parlé de l'accident avec lui", explique le manager italo-suisse. "Il n'y a pas grand-chose à dire. C'est une erreur de pilotage, ça arrive. Charles garde toute notre confiance. C’est un pilote fantastique. Il reste dix courses, et je suis sûr qu'il va faire de son mieux pour essayer de rebondir après ce qui est arrivé aujourd'hui. En tant qu'écurie, nous le soutenons autant que possible. Sur cette course, il y a beaucoup de points positifs."
Sainz comprend la stratégie de Ferrari
Au volant de la deuxième Ferrari, Carlos Sainz partait en fond de grille. L’Espagnol a effectué une belle remontée, au point même de se battre pour le podium. Mais au 41ème tour, son ingénieur lui indique de rentrer au stand pour effectuer un deuxième arrêt.
Avec 23 tours sur ses pneus mediums, Ferrari ne pensait pas que Sainz serait capable d’en faire 12 de plus. Même si, sur le coup, l’Espagnol a montré quelques doutes à chaud quant à la stratégie, il comprend la décision de son équipe.
"Je suis sûr qu’ils ont une bonne raison et que c’était la meilleure chose à faire", explique-t-il. "Ils ont des données que je n’ai pas dans la voiture. Il faut savoir faire confiance aux chiffres. Forcément quand on se bat pour la troisième place, on ne souhaite pas s’arrêter mais c’est comme ça !"
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