1/12 F1 - La FIA instaure un plan d'action contre le marsouinageCe phénomène de rebond nuit-il à l’intégrité des pilotes ?
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2/12 F1 – "Le marsouinage, pas un problème de sécurité" selon FerrariLe Grand Prix d’Azerbaïdjan aura permis de comprendre l’intensité des souffrances que certains pilotes peuvent connaître à cause du marsouinage.
Crédit photo : capture d'écran F1 TV
3/12 F1 – "Le marsouinage, pas un problème de sécurité" selon FerrariPlusieurs pilotes comme Lewis Hamilton et Pierre Gasly ont fait part de leur inquiétude quant aux dégâts que pourraient causer le marsouinage sur leur santé.
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4/12 F1 - GP d'Azerbaïdjan : doublé pour Red Bull, zéro pointé pour Ferrari !Doublé de Red Bull Racing à Bakou !
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5/12 F1 – "Le marsouinage, pas un problème de sécurité" selon FerrariLe directeur de l’Association des Pilotes de Grand Prix (GPDA), George Russell a tiré la sonnette d’alarme après la course à Bakou. Crédit photo : Automobile Club de Monaco
6/12 F1 – "Le marsouinage, pas un problème de sécurité" selon FerrariC’est ainsi que Mattia Binotto estime que le marsouinage n’est pas un problème de sécurité mais plutôt un défi à relever.
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7/12 F1 – "Le marsouinage, pas un problème de sécurité" selon FerrariLe pilote Mercedes a indiqué “qu’un incident majeur allait se produire” si la FIA ne modifiait pas les choses.
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8/12 F1 – "Le marsouinage, pas un problème de sécurité" selon FerrariUn avis non partagé par son confrère de chez McLaren, Andrea Seidl.
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9/12 F1 – "Le marsouinage, pas un problème de sécurité" selon FerrariLe team principal de l’écurie britannique estime qu’il faut davantage écouter les pilotes sur cette question.
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10/12 F1 – "Le marsouinage, pas un problème de sécurité" selon FerrariC’est le cas des deux écuries de tête : Red Bull et Ferrari.
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11/12 F1 – "Le marsouinage, pas un problème de sécurité" selon FerrariUne inquiétude partagée par de nombreux pilotes, en grande partie sur le plan physique.
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12/12 F1 – "Le marsouinage, pas un problème de sécurité" selon FerrariCertains sont contre, mais d’autres acteurs de la F1 ne tiennent pas le même discours.
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Un phénomène connu
L'effet de rebond, ou de marsouinage, est un élément qui fait la pluie et le beau temps cette année en F1. Depuis l'apparition de la nouvelle règlementation des monoplaces pour 2022, avec le retour des voitures à effet de sol, c'est un problème qui touche tout le monde. Que vous jouiez le titre mondial ou que vous vous battiez pour les points, pilotes et voitures sont tous confrontés sans exception à ce problème.
Pour faire simple, le marsouinage provoque des soubresauts à la monoplace. Celle-ci enchaine de façon très rapide des phases de montées puis de descentes. Autrement dit, elle gagne puis perd de l'appui.
Avec des F1 toujours plus rigides, l'apparition des jantes de 18 pouces, et un centre de gravité rabaissé, la moindre ligne droite peut devenir un véritable calvaire pour les pilotes. Prenons le dernier exemple en date. Lewis Hamilton, déjà en course à Bakou, se plaignait de son dos à la radio. Et que dire des interminables secondes dont il a eu besoin pour sortir de sa Flèche d'Argent, une fois la course terminée...
Prendre le taureau par les cornes
Pour la FIA, ce problème de rebond que connaissent les monoplaces est pris au sérieux. Après consultation avec les docteurs et le staff médical, la FIA a reconnu que "dans un sport où les pilotes évoluent à plus de 300 km/h, il est impératif que ces derniers soient uniquement concentrés sur leur pilotage. Une fatigue ou une douleur excessive pourraient avoir de lourdes conséquences et pourraient provoquer un manque de concentration."
La FIA a également ajouté qu'elle s'inquiétait et se souciait de très près des feedback de certains pilotes qui se plaignent de douleurs lombaires. Dès lors, la Fédération Internationale de l'Automobile a décidé d'un plan d'action pour tenter d'éradiquer le problème.
Quelles mesures mises en place ?
Toujours d'après la FIA, un plan d'action à court terme est en train de se mettre en place. Il s'agit pour commencer d'un examen approfondi des éléments placés sous la voiture. Aussi bien en terme de conception que d'usure. Cet examen doit amener ensuite à l'établissement d'une donnée de référence. Une métrique dont la formule mathématique est en cours d'analyse. Celle-ci aura pour but de définir une limite au "niveau acceptable d'oscillations verticales". Derrière, toutes les écuries sont invitées à collaborer.
Bref, il s'agit maintenant de trouver rapidement une solution à tous ces pilotes. Car une chose est sure, ils ne tiendront pas des années de la sorte. Mercedes a d'ailleurs fait son mea culpa au lendemain du weekend de course à Bakou.
Affaire à suivre...
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