A bord de la F1 virtuelle de Pirelli, découvrez en vidéo les contraintes spécifiques de chaque virage du circuit de Sakhir sur la monoplace et le pilote.
Comme pour Shanghaï, Pirelli a choisi les pneus tendres (jaunes) et les pneus médiums (blancs). Le manufacturier italien avait choisi les tendres (jaunes) et les durs (argents) pour cette épreuve l'an dernier, mais elle n'a finalement pas eu lieu.
Pirelli découvre donc ce circuit. Dans les deux premières séance, des marbles, des morceaux de gomme qui se détachent du pneu, sont apparus hors de la trajectoire. Cela peut être difficile à gérer en course, en génant les piltoes s'ils veulent tenter un dépassement.
Un circuit dur pour les freinages
La piste de Bahreïn n'est pas très abrasive et la dégradation des pneus devrait donc être moins forte qu'en Chine, même si les pilotes s'en sont plaints ce vendredi, surtout à cause de la chaleur. L'asphalte a été importé d'Angleterre, avec 60 000 tonnes de granit.
La traction et le freinage sont très importants sur ce circuit. Au premier virage, les monoplaces passent de 315km/h à 65km/h en seulement 130m. Cela génère des forces de 5G.
Le sable, très présent autour de la piste, peut également rendre la piste très glissante au début du week-end. Les tempêtes sont fréquentes et le vent peut déséquilibrer les monoplaces.