1/12 WEC - Peugeot 9X8 : un pas en avant à Fuji malgré les pépins techniquesLes 6 Heures de Fuji, 5ème manche du Championnat du Monde d’Endurance 2022, ont constitué un nouveau pas en avant pour Peugeot dont les deux hypercars 9X8 ont vu l'arrivée au Japon.
Crédit photo : Peugeot Sport
2/12 WEC - Peugeot 9X8 : un pas en avant à Fuji malgré les pépins techniquesDimanche dernier, les deux 9X8 du "Lion" ont vu le drapeau à damier des 6 Heures de Fuji, la n°93 de Di Resta-Vergne-Jensen se classant au pied du podium, la n°94 de Rossiter-Duval-Menezes bouclant l'épreuve au 20ème rang, le cinquième de la classe.
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3/12 WEC - Peugeot 9X8 : un pas en avant à Fuji malgré les pépins techniquesAprès trois séances d’essais libres et une qualification sans encombre, les deux 9X8 s'élançaient en 4e et 5e positions sur la grille de départ. Les premiers relais se déroulaient sans problème avec un bon rythme notamment de James Rossiter, familier du circuit.
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4/12 WEC - Peugeot 9X8 : un pas en avant à Fuji malgré les pépins techniquesA plus d’un tiers de course, une première difficulté affectait la n°94 avec Loïc Duval à son volant : fuite dans le circuit moteur, sans dommage collatéral mais nécessitant une immobilisation de 20 minutes.
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5/12 WEC - 6 Heures de Fuji : Toyota fait le plein à domicileToyota a fait main basse sur les 6 Heures de Fuji, avant-dernière épreuve du Championnat du monde d'Endurance 2022. L'équipage n°8 Brendon Hartley, Sébastien Buemi et Ryo Hirakawa a remporté sa deuxième victoire de l'année devant la n°7.
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6/12 WEC - 6 Heures de Fuji : Toyota fait le plein à domicileLes troupes du WEC 2022 avaient rendez-vous ce week-end sur le Fuji Speedway, une première depuis 2019. A domicile, le Toyota Gazoo Racing n'a pas fait dans la demi-mesure en scellant le doublé et sa huitième victoire en neuf départs sur le circuit nippon.
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7/12 WEC - 6 Heures de Fuji : Toyota fait le plein à domicileCette victoire du trio composé de Hartley, Buemi et Hirakawa, leur permettent d'aborder la finale de la saison, les 8 Heures de Bahreïn en novembre, à égalité de points avec l'équipage d''Alpine André Negrao, Matthieu Vaxiviere et Nicolas Lapierre.
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8/12 WEC - 6 Heures de Fuji : Toyota fait le plein à domicileTroisièmes, les fers de lance du constructeur français en endurance ont dû batailler face au rival tricolore, Peugeot, dont la 9X8 n°94, pilotée par Loic Duval, Gustavo Menezes et James Rossiter, a rallié l'arrivée au cinquième rang après un long arrêt au stand (14 tours perdus) pour réparer une fuite d'huile.
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9/12 WEC - 6 Heures de Fuji : Toyota fait le plein à domicileEn LMP2, la lutte pour la victoire fut rude avec plusieurs voitures se relayant au-devant du peloton. Au final, la victoire de classe est revenue à l'Oreca-Gibson WRT n°31 de Robin Frijns, Sean Gelael et Dries Vanthoor, remplaçant d'un René Rast pris par une manche DTM à Spa-Francorchamps.
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10/12 WEC - 6 Heures de Fuji : Toyota fait le plein à domicileComme souvent, la catégorie-reine du GT a accouché d'une lutte homérique pour les lauriers dont la paire James Calado - Alessandro Pier Guidi a émergé victorieuse au volant de la Ferrari 488 n°51 d'AF Corse.
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11/12 WEC - 6 Heures de Fuji : Toyota fait le plein à domicileEn LMGTE Am, l'Aston Martin TF Sport n°33 a remporté sa deuxième victoire de la saison avec un tour d'avance sur les Iron Dames Michelle Gatting, Sarah Bouvy et Rahel Frey.
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12/12 WEC - 6 Heures de Fuji : Toyota fait le plein à domicileLe podium est complété par l'équipe D'Station Aston Martin Tomonobu Fujii, Satoshi Hoshino et Charlie Fagg.
Crédit photo : FIA WEC
Dimanche dernier, les deux 9X8 du "Lion" ont vu le drapeau à damier des 6 Heures de Fuji, la n°93 de Di Resta-Vergne-Jensen se classant au pied du podium, la n°94 de Rossiter-Duval-Menezes bouclant l'épreuve au 20ème rang, le cinquième de la classe.
Un pas en avant malgré les soucis mécaniques
Après trois séances d’essais libres et une qualification sans encombre, les deux 9X8 s'élançaient en 4e et 5e positions sur la grille de départ. Les premiers relais se déroulaient sans problème avec un bon rythme notamment de James Rossiter, familier du circuit.
A plus d’un tiers de course, une première difficulté affectait la n°94 avec Loïc Duval à son volant : fuite dans le circuit moteur, sans dommage collatéral mais nécessitant une immobilisation de 20 minutes.
Ce problème, jamais identifié auparavant, affectait aussi la n°93 (Paul Di Resta). Certains changements de pneus ont été adaptés suivant des faits de course puis un stop and go pour surconsommation d’énergie sur un relais frappait la n°94.
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Peugeot Sport : ils ont dit...
"Ces 6 Heures de Fuji témoignent de la progression énorme de l’équipe, des mécaniciens et des ingénieurs depuis Monza", commente Olivier Jansonnie , directeur technique de Peugeot Sport."Nous avons résolu tous les problèmes de fiabilité rencontrés lors de notre première course. Notre déroulé de week-end, vendredi, samedi et les deux premières heures de course à Fuji se sont passés sans aucun souci."
"Si nous suivons la même marge de progression pour Bahreîn, ce sera plus que positif. Durant les premiers relais de course, nous démontrions un bon rythme, et désormais, nous allons pouvoir nous concentrer sur les progrès en performance. Nous avons rencontré un problème, similaire vraisemblablement, sur les deux voitures. Nous devons aussi approfondir le comportement et l’utilisation des pneumatiques. Sur chaque circuit, nous découvrons et apprenons !"
"J’ai pu mener mon premier double relais en course dans la 9X8 ce que je n’avais pas pu faire à Monza", ajoute Mikkel Jensen (93). "Au final, ce week-end est positif : nous avons connu le même problème sur les deux voitures et il va nous falloir travailler sur la performance."
"Nous amenons nos deux 9X8 à l’arrivée ici à Fuji, et par rapport à Monza, c’est un sacré résultat. Nous avons encore de nombreuses choses à améliorer, mais nous sommes là, dans le jeu", poursuit Paul di Resta (93).
"Prendre le départ ici à Fuji a été très sympa. J’ai connu un relais vraiment amusant car la voiture était parfaitement équilibrée", déclare James Rossiter. "Je remercie la voiture sœur et Jean-Eric de m’avoir laissé passer car j’ai vraiment pu pousser le rythme. Excepté ce petit hors-piste pour éviter une GT, je dois dire que ma session au volant a été très positive. Je remercie d’ailleurs toute l’équipe car depuis Monza, quelle évolution sur la 9X8 !"
"Il existe un peu de frustration car, sans ce problème rencontré sur les deux voitures et facilement résolu, nous aurions pu nous battre à la régulière pour le podium", conclut Loïc Duval. "Cela aurait été serré mais jouable. Je suis un peu surpris par nos performances en course par rapport à celles de la qualification. Nous sommes plus proches de la concurrence. Nous comprenons mieux la fenêtre d’utilisation des pneumatiques même si nous avons encore à apprendre."
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