Par la forme de son boîtier et celle de son cadran, typiques des années 70, la Spacemaster Z-33 affiche sa parenté avec la collection Flightmaster. Le cadran à l’affichage "dual" analogique et numérique sur fond noir apporte un grand confort de lisibilité, accentué par les aiguilles squelette blanches traitées au Super-LumiNova.
Le boîtier brossé, poli et sablé est réalisé en titane grade 5. "Il s’agit plus précisément d’un mélange composé majoritairement de titane, d’aluminium (6%) et de Vanadium (4%)", explique notre partenaire The Watch Observer. Le poids est raisonnable (127 grammes). Sous cette esthétique très technique se cache un mouvement à quartz, le calibre 5666 thermo-compressé.
Deux fonctions novatrices
Le pilote professionnel comme privé sera séduit par les deux nouvelles fonctions d’enregistrement de données offertes par la montre. La première appelée de bloc à bloc (affichage b-b) enregistre les quatre temps intermédiaires : mise en route des moteurs au parking (BO-OFF), décollage (BO-TOF pour take off), atterrissage (BO-LAN pour landing) et arrêt des moteurs (BO-ON) une fois l’avion arrivé au parking de sa destination finale.
Ainsi, la durée totale d’utilisation de l’avion, moteur tournant (BO-OFF à BO-ON), pourra être comparée avec celle indiquée par le compteur du tableau de bord et reportée par le pilote sur son carnet de vols.
Essai complet
Retrouvez l’essai complet de l'Omega Speedmaster Spacemaster Z-33 et découvrez sur The Watch Observer plus de 250 tests de montres de luxe.
Notre prochain essai montre dès vendredi sur sportauto.fr.
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