VIDEO : AC/DC, Pink Floyd… et une rarissime Ferrari 250 GTO !

Publié le 7 avril 2021 à 10:00
Mis à jour le 7 mai 2021 à 14:53
Envie d'une petite balade en Ferrari 250 GTO ?

Quel rapport peut-il y avoir entre AC/DC, Pink Floyd et une Ferrari 250 GTO ? Ne cherchez plus, savourez juste la réponse en vidéo…

Si vous êtes féru de belles mécaniques (sans quoi, vous ne seriez sans doute pas ici) mais aussi sensible à l’univers musical, la vidéo ci-dessous ne pourra que combler le passionné éclectique que vous êtes.

Nous sommes perdus quelque part au coeur de la campagne britannique. Jusqu’ici, rien à signaler : ciel bouché, fine pluie, temps maussade et accent british… pas de doute, il s’agit bien de la vieille Angleterre ! La grisaille prend toutefois vite un relief plus coloré lorsque s’ouvre une porte de hangar, laissant deviner les contours galbés d’une… Ferrari 250 GTO. Pas n’importe quelle GTO : un des 36 exemplaires (châssis n°3757) sortis des ateliers de Maranello entre 1962 et 1964, et non-pas une réplique ou un modèle hybride, comme celui-ci pour le moins étonnant.

Quand AC/DC rencontre Pink Floyd

Et l’aspect « musical » dans tout ça ? Eh bien, le propriétaire de cette rarissime Ferrari, dont le design n’appartient plus à la marque italienne, n’est autre que Nick Mason, le légendaire batteur du groupe Pink Floyd ! Grand passionné de voitures anciennes, Mason acheta la voiture en 1977 pour 37.000 Livres Sterling (l’équivalent « d’à peine » 43.000 euros au cours actuel) grâce au succès de l’album The Dark Side Of The Moon. Son garage recèle d’ailleurs une flopée de modèles exceptionnels collectés au fil de sa vie, dont une Ferrari F40.

Son visiteur du jour en connaît aussi un rayon niveau voitures puisqu’il s’agit de Brian Johnson. Le chanteur du groupe AC/DC n’est en effet pas qu’une autre légende du rock mais aussi un passionné d’ancêtres et un pilote à ses heures ! Il n’en reste pas moins émerveillé de pouvoir toucher du bout des doigts pareille machine, dont la valeur est à la hauteur de la rareté.

Les deux compères décident ensuite de lui aérer les bielles au détour d’une petite balade, l’oreille collée à la fenêtre pour ne rien perdre des rugissements du V12 2.9L de près de 300 chevaux. Mais trêve de bla-bla, place à la nostalgie ! 

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À propos de l’auteur
Guillaume Alvarez
Rédacteur-Editeur pour Sport Auto, l'Auto-Journal et F1i. Je partage mon temps entre l'écriture, le reportage et les circuits, la plume et le micro portés par la passion de l'automobile et de la compétition, du Karting à la Formule 1, en noir et blanc comme en couleurs.
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