1/10 Mick Schumacher (Ferrari) au volant de la Ferrari F2004 à HockenheimMick Schumacher
2/10 Mick Schumacher (Ferrari) à HockenheimMick Schumacher
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6/10 Mick Schumacher (Ferrari) au volant de la Ferrari F2004 à HockenheimMick Schumacher
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8/10 Mick Schumacher (Ferrari) au volant de la Ferrari F2004 à HockenheimMick Schumacher
9/10 Mick Schumacher (Ferrari) au volant de la Ferrari F2004 à HockenheimMick Schumacher
10/10 Mick Schumacher (Ferrari) au volant de la Ferrari F2004 à HockenheimMick Schumacher
Mick Schumacher a pris le volant de la F1 avec laquelle son père, Michael Schumacher, a le plus dominé le championnat en 2004. Samedi, le jeune Allemand a effectué un premier roulage à Hockenheim (vidéo), avant un nouveau ce dimanche, avant la course. Il était ému après cette première démonstration.
« C'est tout simplement fantastique d'avoir pu prendre le volant de cette voiture, » indique Schumacher. « Quand j'attendais dans les stands pour prendre la piste, les minutes m'ont paru des heures. Une fois en piste, les minutes se sont écoulées comme des secondes. »
« Je tiens à remercier Ferrari et la Formule 1 de m'avoir offert cette opportunité, c'était un rêve et son honneur pour moi. »
Schumacher impressionné par le bruit de la monoplace
Mick Schumacher, actuellement 14ème de la Formule 2, n'a pas de souvenir de la saison 2004 mais il a ensuite pu découvrir les succès de Michael Schumacher durant cette saison historique. « Je me souviens de voir mon père à la télévision, qui gagnait de nombreuses courses au volant de cette voiture de légende, » précise-t-il.
En 2017, il a pris le volant de la monoplace du premier titre de son père, la Benetton B194 de la saison 1994, à Spa. Il juge la Ferrari spectaculaire : « J'ai été impressionné par la puissance et le bruit du moteur V10, » confirme-t-il. « Je voyais les supporters crier dans les stands, mais je ne pouvais pas les entendre parce que leur son était couvert par les rugissements de la voiture. Il n'y a pas eu un seul instant de la journée où je n'ai pas eu le sourire aux lèvres. »
Il ne voulait pas mettre fin à ce roulage : « Si j'avais eu le choix, je ne serais jamais rentré aux stands, » s'amuse-t-il. Comme en 2017, il roulait avec un casque qui associait ses couleurs et celles de son père.