1/12 Voici comment la F1 veut endiguer le "marsouinage" en 2023La FIA avait annoncé la mise en place d'un "plan d'action" pour lutter plus efficacement contre le "marsouinage".
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2/12 Motor Racing - Formula One World Championship - Azerbaijan Grand Prix - Race Day - Baku, AzerbaijanCe phénomène s'est manifesté dès les premiers tours de piste aux essais hivernaux. Les écuries se rendirent compte que le profil aérodynamique, revu en profondeur, de leurs nouvelles monoplaces engendrait des rebonds à haute vitesse.
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3/12 Voici comment la F1 veut endiguer le "marsouinage" en 2023Ces sauts, comme être assis sur un trampoline, sont le résultat d'un phénomène aéro qui n'avait plus été expérimenté en F1 depuis le bannissement des monoplaces à effet de sol, et leurs fameuses "jupes", début des Années 1980.
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4/12 F1 - Russell "affecté au dos" par le "marsouinage" de sa MercedesDepuis l'entame de la saison, Mercedes-AMG est l'une des formations du plateau F1 les plus affectées par ce problème.
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5/12 F1 - Russell "affecté au dos" par le "marsouinage" de sa MercedesLe "marsouinage", ou "pompage", issue du terme anglais porpoising, est depuis 2022 l'un des casses-tête d'une partie des écuries de Formule 1.
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6/12 Un effet qui cause des dégâtsPlusieurs équipes ont dû changer des pièces à cause du marsouinage.
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7/12 Plus la vitesse augmente, plus l'effet est puissantC'est au bout de la ligne droite que l'effet de marsouinage est le plus puissant.
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8/12 F1 - Daniel Ricciardo sur la sellette chez McLaren ? L'Australien clarifie...Depuis plusieurs semaines, "radio paddock" s'agite autour de la question de l'avenir à court terme de Daniel Ricciardo sous les couleurs de McLaren. © Coates / XPB Images
9/12 F1 - Daniel Ricciardo sur la sellette chez McLaren ? L'Australien clarifie...Des rumeurs font en effet état d'un possible départ de l'Australien, dont les performances au volant des monoplaces couleur "papaye" sont en-deçà des attentes depuis près d'une saison et demi, comme l'a d'ailleurs souligné publiquement Zak Brown, le patron de McLaren. © Coates / XPB Images
10/12 F1 - Daniel Ricciardo sur la sellette chez McLaren ? L'Australien clarifie...Le manager américain avait même allumé une première mèche en évoquant une clause du contrat de Ricciardo permettant aux deux parties de mettre fin à leur partenariat avant son terme, prévu fin 2023.
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11/12 F1 - Daniel Ricciardo sur la sellette chez McLaren ? L'Australien clarifie...Il s'avère toutefois que seul le pilote a la possibilité d'activer cette clause, et non l'écurie. © Batchelor / XPB Images
12/12 F1 - Daniel Ricciardo sur la sellette chez McLaren ? L'Australien clarifie...Si, d'aventures, le baquet de Ricciardo venait à se libérer, plusieurs noms circulent pour prendre son relais comme Colton Herta. © Batchelor / XPB Images
Nous vous en parlions ici, la FIA avait annoncé la mise en place d'un "plan d'action" pour lutter plus efficacement contre le "marsouinage", ou porpoising en anglais.
La mauvaise surprise de 2022...
Ce phénomène s'est manifesté dès les premiers tours de piste aux essais hivernaux de la saison 2022. Les écuries se rendirent compte que le profil aérodynamique, revu en profondeur, de leurs nouvelles monoplaces engendrait des rebonds à haute vitesse.
Ces sauts, comme être assis sur un trampoline, sont le résultat d'un phénomène aéro (on vous explique tout ici) qui n'avait plus été vu en F1 depuis le bannissement des monoplaces à effet de sol, et leurs fameuses "jupes", au début des Années 1980.
La sécurité des pilotes en question
Si plusieurs écuries sont parvenues à réduire le problème, le "marsouinage" persiste tout de même sur la majorité des voitures du peloton. Une première sonnette d'alarme fut tirée par les pilotes, dont George Russell, après des douleurs au dos.
L'une des images les plus marquantes de la première partie de saison restera aussi celle de Lewis Hamilton, presque incapable de s'extraire de lui-même de sa Mercedes W13 à l'arrivée d'un Grand Prix d'Azerbaïdjan où il avait souffert de rebonds intempestifs.
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Plan d'action pour 2023 : de quoi s'agit-il ?
La FIA vient de dévoiler davantage de détails quant à son plan d'action en vue de la saison 2023. Il est constitué de quatre changements pour éviter que le phénomène de "marsouinage" ne s'aggrave. Une premier étape pour la fédération est de faire en sorte que les écuries sont à la page en matière de rigidité de leur plancher.
Une directive technique sera émise au prochain Grand Prix de Belgique afin de fixer noir sur blanc les limites à ne pas dépasser. Sans cela, l'application du "plan d'action 2023" risquerait de ne pas être égal entre toutes les monoplaces. A cette directive s'ajouteront quatre modifications, votées cette semaine par la FIA et les écuries.
Tout d'abord, les bords du plancher seront relevés de 25 mm, de même que la partie centrale du diffuseur. Des tests de déflexion latérale plus stricts seront aussi introduits et un capteur plus précis sera adopté pour aider à quantifier l'oscillation aérodynamique.
Cette nouvelle procédure de mesure sera appliquée par le règlement à Spa-Francorchamps mais les écuries auront le loisir de la tester dès le Grand Prix de France, fin juillet.
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