1/12 Bugatti, Louis Chiron et Monaco : une histoire d'amour de près d'un siècle...Aucune autre course urbaine n’est aussi iconique que le Grand Prix de Monaco.
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2/12 Bugatti, Louis Chiron et Monaco : une histoire d'amour de près d'un siècle...Depuis plus de 90 ans, le nom de Bugatti est fortement lié à celui de ce circuit iconique.
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3/12 Bugatti, Louis Chiron et Monaco : une histoire d'amour de près d'un siècle...Cette année, à l’occasion du 13e Grand Prix de Monaco Historique qui débute ce vendredi 13 mai, les organisateurs ont choisi de commémorer l’un des plus grands évènements du sport auto et la marque de Molsheim.
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4/12 Bugatti, Louis Chiron et Monaco : une histoire d'amour de près d'un siècle...Alexandre Louis Chiron naît le 3 août 1899 à Monte-Carlo. Avec une Bugatti qui lui appartenait, il dispute sa première course en 1925 et célèbre ses premiers succès en 1927 et 1928.
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5/12 Bugatti, Louis Chiron et Monaco : une histoire d'amour de près d'un siècle...Il devient une star au volant de Type 35 C et Type 51. Le développement de la Type 35 B mise sur un moteur huit cylindres en ligne de 2,3 litres doté d’une puissance allant jusqu’à 190 ch et atteignant une vitesse maximale proche des 230 km/h.
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6/12 Bugatti Type 35 B : un exemplaire va être vendu aux enchèresLes Bugatti ont toujours été des modèles d'exception depuis les débuts de l'histoire de la firme
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7/12 Bugatti Type 35 B : un exemplaire va être vendu aux enchèresLa Bugatti Type 35 est une automobile sportive datant des années 1920.
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8/12 Bugatti Type 35 B : un exemplaire va être vendu aux enchèresPlus de deux mille victoires en compétition dont cinq succès consécutifs à la Targa Florio.
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9/12 Bugatti Type 35 B : un exemplaire va être vendu aux enchèresLa naissance du mythe des « Pur-sang » Bugatti date de cette époque.
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10/12 Bugatti Type 35 B : un exemplaire va être vendu aux enchèresAu début des années 1930, elle cède sa place aux sportives des constructeurs italien Alfa Romeo et allemand Mercedes-Benz.
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11/12 La Bugatti Type 57 SC Atlantic exposée au musée Guggenheim de BilbaoLa Bugatti Type 57 SC Atlantic tient le premier rôle d’une nouvelle exposition, Motion. Autos, Art, Architecture, organisée par l'architecte britannique Norman Foster au célèbre musée Guggenheim de Bilbao.
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12/12 La Bugatti Type 57 SC Atlantic exposée au musée Guggenheim de BilbaoUne quarantaine des créations automobiles accompagnent la Type 57 SC Atlantic, exposée aux côtés de la sculpture Walking Panther de Rembrandt Bugatti, le frère d'Ettore.
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Aucune autre course urbaine n’est aussi iconique que le Grand Prix de Monaco. Depuis 1929, des voitures de course se faufilent dans les rues étroites de la principauté qui s’étendent sur 3,3 km, sans zone de dégagement ni rampe de dégravage.
Depuis plus de 90 ans, le nom de Bugatti est fortement lié à celui de ce circuit iconique. Cette année, à l’occasion du 13e Grand Prix de Monaco Historique qui débute ce vendredi 13 mai, les organisateurs ont choisi de commémorer l’un des plus grands évènements du sport auto et la marque de Molsheim.
Huit Bugatti au départ du 1er Grand Prix de Monaco
L’idée d’accueillir une course en plein cœur de Monaco est venue d’Anthony Noghès, commissaire général de l’Automobile Club de Monaco (ACM) dans le milieu des années 1920. Il s’écoulera quelques années avant que cette idée ne soit mise en oeuvre. Début avril 1929, 20 pilotes s’inscrivent. Le 14 avril, 16 sont sur la ligne de départ et huit d’entre eux choisissent de courir avec des Bugatti.
Après quatre heures de course, William Charles Frederick Grover-Williams, aussi connu sous le nom de "W. Williams", est le premier à franchir la ligne d’arrivée à bord d’une Bugatti Type 35 B. C’est le début d’une nouvelle ère…
Et ce ne sera pas la dernière victoire de Bugatti à Monaco, puisque la marque remportera quatre courses au total, dont trois consécutives. Après celle de 1929 suivent celles de 1930 avec René Dreyfus, 1931 avec Louis Chiron (qui donna son nom à l'hypercar) et enfin 1933 avec Achille Varzi.
Chiron, un nom mythique pour Bugatti
Alexandre Louis Chiron naît le 3 août 1899 à Monte-Carlo. Avec une Bugatti qui lui appartenait, il dispute sa première course en 1925 et célèbre ses premiers succès en 1927 et 1928. Il attire l’attention d’Ettore Bugatti qui, la même année, lui propose une place de pilote dans l’une de ses voitures. Chiron courra officiellement pour Bugatti jusqu’en 1932.
Il devient une star au volant de Type 35 C et Type 51. Le développement de la Type 35 B mise sur un moteur huit cylindres en ligne de 2,3 litres doté d’une puissance allant jusqu’à 190 ch et atteignant une vitesse maximale proche des 230 km/h.
Premier, et unique, Monégasque vainqueur à domicile
Avec Bugatti, Chiron va de victoire en victoire et remporte en 1928 les Grands Prix de Rome, de la Marne, de Saint-Sébastien, en Espagne, et d’Europe à Monza. L’un de ses plus grands succès reste néanmoins sa victoire à domicile en 1931, à Monaco. Au volant d'une Type 35, il devient ainsi le premier, et le seul encore aujourd’hui, Monégasque à avoir décroché une victoire à domicile.
C’est évidemment à Monaco, en 1955, que Chiron, âgé de presque 56 ans, participe à son dernier Grand Prix en terminant à la sixième place à bord d’une Lancia D50. Il est ainsi aujourd’hui encore le pilote le plus âgé à avoir jamais participé à une course de Formule 1.
En hommage à la légende qu’il était, les organisateurs du 13e Grand Prix de Monaco Historique ont choisi de donner son nom à une épreuve : la Série A – Louis Chiron, pour les voitures de Grand Prix, à moteur, construites avant 1960.
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