1/12 Les moteurs Mercedes sont-ils une source de préoccupation ?Depuis le début de la saison 2022, Mercedes fait profil bas.
Crédit Photo : Jiri Krenek
2/12 Les moteurs Mercedes sont-ils une source de préoccupation ?En déficit en termes de performance, l’écurie championne du monde en titre est encore trop loin de Ferrari et de Red-Bull pour se battre aux avant-postes à la régulière.
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3/12 Les moteurs Mercedes sont-ils une source de préoccupation ?Et pourtant, le bilan est loin d’être désastreux : deux podiums en trois courses.
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4/12 Les moteurs Mercedes sont-ils une source de préoccupation ?George Russell pointe même à la deuxième place du classement des pilotes.
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5/12 Les moteurs Mercedes sont-ils une source de préoccupation ?Cependant, le manque de performance du moteur Mercedes peut-il est une source de préoccupation pour le reste de la saison ?
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6/12 Les moteurs Mercedes sont-ils une source de préoccupation ?Il est difficile de trouver une raison concrète à ce manque de performance des moteurs Mercedes en 2022.
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7/12 Les moteurs Mercedes sont-ils une source de préoccupation ?Une explication plausible serait que le constructeur allemand n’a pas réussi à compenser la vingtaine de chevaux perdus à cause du nouveau biocarburant E10 instauré en 2022.
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8/12 Les moteurs Mercedes sont-ils une source de préoccupation ?Celui-ci contient 10% d’éthanol ajouté à l’essence fossile.
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9/12 Les moteurs Mercedes sont-ils une source de préoccupation ?Car il est vrai que non seulement Mercedes a baissé dans la hiérarchie, mais il se trouve que les autres clients du V6 allemand l’ont également été.
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10/12 Les moteurs Mercedes sont-ils une source de préoccupation ?La position moyenne des deux voitures de chaque équipe donne Aston Martin en dernière position, derrière Williams et McLaren. Trois écuries motorisées par Mercedes.
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11/12 Les moteurs Mercedes sont-ils une source de préoccupation ?Un souci moteur qui pourrait poser des problèmes tout au long de la saison et plus.
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12/12 Les moteurs Mercedes sont-ils une source de préoccupation ?En effet, le gel des moteurs impose aux écuries de ne plus modifier leurs unités de puissance jusqu’à l’arrivée du nouveau moteur en 2026. Crédit Photo : LAT Images
Depuis le début de la saison 2022 de Formule 1, Mercedes-AMG fait profil bas. A la traîne sur le plan de la performance, l’écurie championne du monde en titre est encore trop loin de Ferrari et Red Bull pour se battre aux avant-postes à la régulière.
Et pourtant, le bilan est loin d’être désastreux : deux podiums en trois courses, et George Russell à la deuxième place du classement des pilotes. Cependant, le manque de puissance et de performance affiché par le V6 Mercedes peut-il se muer en préoccupation récurrente pour le reste de la saison ?
Un souci au niveau du biocarburant ?
A ce stade prématuré de la saison, bien malin, en-dehors des ingénieurs de Brixworth, qui pourrait pointer avec certitude l'origine des faiblesses du bloc à l'étoile. Une explication avancées serait que le constructeur allemand n’a pas réussi à compenser la vingtaine de chevaux perdus à cause du nouveau biocarburant E10 instauré en 2022. Celui-ci contient 10% d’éthanol ajouté à l’essence fossile.
Depuis l'entame de la saison, non seulement Mercedes a baissé dans la hiérarchie, mais aussi les équipes-clientes du V6 allemand. La position moyenne des deux voitures de chaque équipe donne Aston Martin en dernière position, derrière Williams et McLaren.
Mercedes pas aussi catégorique
"Je pense qu’il y a toujours une marge de progression", déclare George Russell après Melbourne. "Mais je crois que la Williams, avec une unité de puissance Mercedes à l’arrière, était la voiture la plus rapide dans les lignes droites à Bahreïn, ou l’une des voitures les plus rapides. Je pense que nous avions plus d’appui sur les ailerons par rapport à la Red Bull et à la Ferrari, et les problèmes de marsouinage n’aident pas non plus. Donc, nous devrons attendre, mais je ne pense pas que ce soit uniquement dû à l’unité de puissance."
Même son de cloche du côté de chez Toto Wolff, Team principal de Mercedes : "Nous devons d’abord analyser les niveaux de traînée avant d’émettre un jugement sur un manque de puissance ou non. Je ne pense pas qu’il y ait de grandes différences entre les moteurs mais il est clair que Ferrari a fait de gros progrès."
Des envies d’ailleurs pour Hamilton ?
De quoi donner envie à Lewis Hamilton de voir ailleurs ? Selon Mika Hakkinen, le pilote britannique serait en pleine réflexion. "Je me demande comment Lewis se comporte lors des briefings", se demande le Finlandais dans une vidéo pour Unibet. "Je parie qu’il boude. Cela déclenche un processus de réflexion naturel chez les pilotes : ‘Devrais-je aller ailleurs ?' C’est un fait. Il est chez Mercedes depuis des années et a remporté plusieurs championnats. Maintenant que les choses ne vont pas bien, il va commencer à penser à changer d’équipe."
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