1/12 F1 - Grand Prix du Canada : Max Verstappen, maître de son sujet !Verstappen a désormais 46 points d’avance sur Sergio Perez (Red Bull).
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2/12 F1-Au Canada, Max Verstappen dépasse Jim Clark et Niki LaudaLe pilote britannique Lewis Hamilton est celui qui a remporté le plus de Grand Prix avec 103 victoires en F1.
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3/12 F1-Au Canada, Max Verstappen dépasse Jim Clark et Niki LaudaCarlos Sainz est lui toujours en quête de sa première victoire en F1. Il a fini 2e dimanche dernier à Montréal.
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4/12 F1-Au Canada, Max Verstappen dépasse Jim Clark et Niki LaudaCe Week-end au Canada, Max Verstappen a remporté la 26e course de sa carrière en Formule 1.
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5/12 F1-Au Canada, Max Verstappen dépasse Jim Clark et Niki LaudaSur la dernière marche du podium, on retrouve Lewis Hamilton. C'est son meilleur résultat de la saison 2022.
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6/12 F1 - Grand Prix du Canada : Max Verstappen, maître de son sujet !Le top 5 de ce Grand Prix est complété par Charles Leclerc (Ferrari).
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7/12 F1 - Grand Prix du Canada : Max Verstappen, maître de son sujet !Derrière Sainz avait des gommes plus fraiches et la possibilité d’utiliser le DRS.
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8/12 F1 - Grand Prix du Canada : Max Verstappen, maître de son sujet !La Red Bull s’impose de nouveau en 2022 et augmente son avance au championnat des pilotes.
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9/12 F1 - Grand Prix du Canada : Max Verstappen, maître de son sujet !Red Bull conserve la tête du classement constructeurs avec 76 points d’avance sur Ferrari.
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10/12 F1 – "Le marsouinage, pas un problème de sécurité" selon FerrariLes importants rebonds provoquent des secousses à très haute vitesse.
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11/12 F1 – "Le marsouinage, pas un problème de sécurité" selon FerrariCertains sont contre, mais d’autres acteurs de la F1 ne tiennent pas le même discours.
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12/12 F1 - Grand Prix du Canada : Max Verstappen, maître de son sujet !L’Espagnol n’aura cependant jamais pu porter une attaque franche sur le porteur du numéro 1.
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Rien d'officiel
À l'heure où nous écrivons ces lignes, rien n'est officiel. Aucun communiqué de la FIA , ni de la FOM (Formula One Management). Mais la question peut légitiment se poser quand on sait que la F1 est régie aujourd'hui par Liberty Media, promoteur de la F1 et société américaine.
En faisant le parallèle avec des ligues sportives majeures outre-Atlantique, ce schéma est déjà en place. Sur le papier, il semblerait plus difficile de le mettre en application au sein du championnat du monde de F1. Mais, à nouveau la question est légitime. Sans dire qu'elle serait bénéfique.
Une vision des choses partagée par le champion du monde en titre, Max Verstappen. Le pilote néerlandais a en effet donné son avis sur la question lors de la conférence de presse en amont du GP d'Azerbaïdjan, à Bakou : "De mon côté, c'est complètement faux car je pense qu'en ce moment la F1 devient de plus en plus populaire. Et tout le monde gagne de plus en plus d'argent, y compris les équipes, [Formula One Management]. Tout le monde en profite, alors pourquoi les conducteurs avec leurs droits de propriété intellectuelle et tout devraient-ils être plafonnés, vous savez qui apportent réellement le spectacle et mettent leur vie en danger parce que nous le faisons finalement."
L'argent, vecteur de transfert
Si d'aventure la question du plafond salarial venait à se mettre en place, cette dernière aurait inévitablement un impact considérable sur le marché des transferts. Et ce, à plusieurs niveaux.
Pour commencer, on imagine mal un pilote signer pour une tierce écurie qui lui proposerait moins que son salaire actuel. Mis à part un cas de figure extrême où le pilote est "condamné" à rouler pour ladite écurie s'il veut rester en F1.
De l'autre, les écuries pourraient connaitre des difficultés à payer un pilote. Le plafond salarial en question interdirait en effet les écuries de rémunérer leurs pilotes par d'autres moyens. À l'instar des sponsors, parrainages et autres. Pour l'heure, c'est justement via le salaire que les écuries attirent des pilotes en leur sein. Les pilotes de F1 sont payés quelque soit la valeur du team.
Des salaires hauts perchés
Aujourd'hui, les pilotes du plateau les mieux payés sont (sans surprise) Lewis Hamilton et Max Verstappen. Leurs salaires avoisinent les 40 millions de dollars chaque année. Normal pour des champions du monde qui n'ont pas - ou plus - grand chose à prouver.
À l'inverse, les pilotes rookies, souvent partie intégrante des petites équipes engagées en Formule 1, ne touchent "qu'un million de dollars" par an. C'est le cas par exemple de Mick Schumacher chez Haas ou encore de Guanyu Zhou chez Alfa Romeo. Seul Yuki Tsunoda perçoit moins d'un million de dollars, avec un salaire annuel d'environ 750 000 dollars.
De possibles exemptions
Enfin, on notera que la F1 a mis en place un plafond de dépenses pour réduire les coûts de chaque écurie. Ce dernier culmine à 140 millions de dollars. Néanmoins, le règlement autorise quelques dérogations aux deux pilotes et aux trois employés les mieux payés de chaque équipe.
Autrement dit, si le plafond salarial qui se murmure doucement dans les paddocks venaient à voir le jour, il n'est pas ubuesque de penser que des exemptions de ce dernier puissent apparaitre également.
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