1/12 60 ans de Sport Auto : les sportives les plus iconiques #3 (1980-1990)Renault R5 Turbo (1980) Née pour répondre aux règles d’homologation de la FIA, la Turbo est une « 5 » sous testostérone. Crédit photo : Wheelsage / Renault
2/12 60 ans de Sport Auto : les sportives les plus iconiques #3 (1980-1990)Porsche 959 (1983) Le projet d’une 911 à quatre roues motrices refait surface grâce au Groupe B. Porsche présente ainsi en 1983 la 959 avec un 6 cylindres à plat turbocompressé de 2,8 l et 450 ch. La suite est simple : 0 à 100 km/h en 3’’9 et 317 km/h en vitesse de pointe. Crédit photo : Wheelsage / Porsche
3/12 60 ans de Sport Auto : les sportives les plus iconiques #3 (1980-1990)BMW M3 / E83 (1986) C’est celle par qui tout a commencé. En construisant une voiture censée répondre aux homologations du Groupe A, BMW ignorait créer à cet instant précis la voiture de tourisme sportive par excellence. Avec un 4 cylindres de 2,3 l développant 200 ch, l’auto ne brille pas par sa puissance. Crédit photo : Wheelsage / BMW
4/12 60 ans de Sport Auto : les sportives les plus iconiques #3 (1980-1990)Ferrari F40 (1987) Comment définir une automobile exceptionnelle ? Par son dessin, sa mécanique, ses performances, son histoire ? Les quatre à la fois ? En 1987, la Ferrari F40 semble cocher toutes ces cases. Crédit photo : Wheelsage / Ferrari
5/12 60 ans de Sport Auto : les sportives les plus iconiques #2 (1970-1980)Lamborghini Countach (1974) "Big bang" dans la galaxie des sportives. Spectaculaire, agressif, féroce, bestial. Les qualificatifs ne manquent pas pour décrire le style de la nouvelle Lamborghini Countach. Forte en design, l’auto démodait sans peine tout ce qui roulait à l’époque. Crédit photo : Wheelsage
6/12 60 ans de Sport Auto : les sportives les plus iconiques #2 (1970-1980)Volkswagen Golf GTI (1976) La Golf GTI révolutionne le genre. C’est l’effet d’un cocktail de performances réellement pétillantes pour l’époque, grâce à son poids mini et à 110 ch plutôt toniques, et d’un comportement assez joueur. Crédit photo : Wheelsage
7/12 60 ans de Sport Auto : les sportives les plus iconiques #2 (1970-1980)Porsche 911 Carrera RS (1972) Comme souvent, il est ici question de modèle d’homologation pour la course. Et comme parfois, la demande de la clientèle dépasse largement ce qui était prévu au départ. La recette d’un tel succès ? Crédit photo : Wheelsage
8/12 60 ans de Sport Auto : les sportives les plus iconiques #2 (1970-1980)Ferrari 512 BB (1976) D’abord, la révolution : la 365 GT4 BB, devenue 512 BB, est la première vraie Ferrari de route à oser le moteur central. Et quel moteur ! Un 12 cylindres à plat, qui n’est certes pas un « boxer », selon les techniciens, mais un V12 à 180° pour des questions de cycle d’allumage. Crédit photo : Wheelsage
9/12 Porsche 911 (1963)La Porsche 356 prend sa retraite et est remplacée par un nouveau modèle qui s’en inspire, déclinant en l’étirant sa silhouette de grenouille, rajoutant deux cylindres au moteur à plat refroidi par air et un peu plus de place pour les passagers. Crédit photo : Sport Auto / EMAS
10/12 Lamborghini Miura (1966)De jeune challenger, Lamborghini change d’un coup de catégorie avec l’apparition de la Miura, en 1966. Crédit photo : Sport Auto / EMAS
11/12 Jaguar Type E (1961)Née en 1961 sous la main de l’aérodynamicien Malcolm Sayer, la Jaguar Type E fait immédiatement l’unanimité par son design novateur.
Crédit photo : Sport Auto / EMAS
12/12 Ferrari 250 GTO (1962)Que chacun des 36 exemplaires produits vaille aujourd’hui le prix d’une toile impressionniste est une chose. Mais ses talents vont bien au-delà de ses possibilités spéculatives. Crédit photo : Sport Auto / EMAS
Renault 5 Turbo (1980)
- Moteur : 4 en ligne
- Alésage : 1,4 l
- Puissance : 160 ch
- Transmission : propulsion
- Vitesse maximale : 210 km/h
Née pour répondre aux règles d’homologation de la FIA, la Turbo est une « 5 » sous testostérone. Elle ne le cache pas : sa carrure grossit spectaculairement tandis que son moteur migre vers l’arrière.
Impressionnants à l’époque et plus timides aujourd’hui, les 160 ch restent largement suffisants pour maintenir un rythme de conduite enjoué… à qui sait en jouer. Car la Turbo est du genre taquin avec son pilote. Mais les vrais pros du cerceau la feront accéder à la gloire sportive.
Porsche 959 (1983)
- Moteur : Flat 6
- Alésage : 2,8 l
- Puissance : 450 ch
- Transmission : intégrale
- Vitesse maximale : 317 km/h
Le projet d’une 911 à quatre roues motrices refait surface grâce au Groupe B. Porsche présente ainsi en 1983 la 959 avec un 6 cylindres à plat turbocompressé de 2,8 l et 450 ch. La suite est simple : 0 à 100 km/h en 3’’9 et 317 km/h en vitesse de pointe.
Ultra-technologique, elle offre différents modes de conduite qui permettent à l’auto de s’adapter aux conditions climatiques. A cause de la suppression du Groupe B, elle ne courra jamais. Mais elle fascine encore.
https://twitter.com/SportAutoMag/status/1531983922766151680
BMW M3 / E30 (1986)
- Moteur : 4 en ligne
- Alésage : 2,3 l
- Puissance : 200 ch
- Transmission : propulsion
- Vitesse maximale : 235 km/h
C’est celle par qui tout a commencé. En construisant une voiture censée répondre aux homologations du Groupe A, BMW ignorait créer à cet instant précis la voiture de tourisme sportive par excellence. Avec un 4 cylindres de 2,3 l développant 200 ch, l’auto ne brille pas par sa puissance.
Ses atouts, elle les cherche sur la route… et les trouve ! La M3 présente un comportement neutre mais s’illustre surtout par son équilibre. Le début d’une longue lignée.
Ferrari F40 (1987)
- Moteur : V8
- Alésage : 2,9 l
- Puissance : 478 ch
- Transmission : propulsion
- Vitesse maximale : 324 km/h
Comment définir une automobile exceptionnelle ? Par son dessin, sa mécanique, ses performances, son histoire ? Les quatre à la fois ? En 1987, la Ferrari F40 semble cocher toutes ces cases. Déjà parce qu’il s’agit de la dernière voiture qu’Enzo Ferrari a connue de son vivant. Peut-être aussi parce que la F40 fait partie des premières autos ayant franchi la barre mythique des 200 miles à l’heure (320 km/h).
Mais surtout, la F40 est une authentique machine de compétition adaptée à la route, ce qui n’était pas arrivé chez Ferrari depuis des décennies. Cela lui vaut une pureté technique qui confine à l’ascétisme pour la présentation. A l’avant, c’est ambiance cellule de moine.
A l’arrière, c’est plutôt salle de concert avec le V8 biturbo de 2,9 l développant 478 ch. Face à un tel chœur, le conducteur se prend pour un maestro menant à la baguette une ribambelle de chevaux. Il y faut du talent. Les aides électroniques ? Le confort ? La clémence envers un apprenti pilote un peu trop présomptueux ? La F40 ne connaît pas et cela forge aussi sa légende.
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60 ans de Sport Auto : les rédacteurs se souviennent (en vidéo)
A l'occasion des 60 ans de votre magazine / site web préféré, plusieurs de nos rédacteurs prennent la parole pour évoquer leurs parcours au sein de la rédaction. A découvrir en vidéo.
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